Physique

        Comme spécifié plus haut, je suis une fille. Je suis assez petite, environ 1m60 et j'ai de très longs cheveux blanc qui m'arrivent jusqu'aux genoux. J'ai des yeux particuliers, en effet ils changent de couleur en fonction de mon humeur, passant du bleu presque blanc à du gris très foncé. Mon visage est parsemé de tache de rousseur et quand je parle, c'est avec un léger accent russe. Je suis très agile mais je n'ai aucune force dans mes petits bras frêles. Je suis peu musclée en général sauf les joues car je sourie presque tout le temps. Je n'ai pas de forme très sexy mais cela m'importe peu. Quand je n'ai pas de raisons de courir, je traîne le pas en grommelant. N'ayant jamais froid, je passe tout mon temps en t-shirt et en jupe d'écolière mi-longue qui m'arrive au dessus du genou. Par contre, j'ai horreur de mettre des chaussures, je me balade donc pieds nus.  

Caractère

     Je suis flemmarde. Je pense que c'est ce point qui me caractérise le mieux. Je suis tout le temps dans la lune, à rêvasser ou a regarder les nuages passer dans le ciel d'été. Je pourrai passer des heures a regarder les flocons de neiges tomber sur le sol ou un animal sauvage vivre sa vie. J'aime juste apprécier le cour de la vie. Je ne vais jamais parler aux gens ce qui m'a valu le fait d'être souvent seul. Mais cela n'a que peu d'importance pour moi. J'ai peu d'amis mais je tien vraiment à eux et, si ils sont en danger, je ferai tout pour les aider. Je suis très souvent heureuse mais lorsque l'on parle de mort, de guerre, de destruction ou de violence, mon humeur s’assombrit d'un coup. Carpe diem est ma devise. Je ne stresse que très rarement et pour de très bonnes raisons. j'aime la nature forcement, mais principalement la menthe. J'en raffole, c'est mon péché mignon ! Par contre, je hais la violence et les armes ... surtout blanches ! j'ai une peur bleue des armes blanches.
   

Hstoire

   Je suis née d'un mère russe, actrice et riche : Aleksandra, et du dieu des vents : Éole. Mes parents s'aimaient profondément et, un soir de tempête, ma mère finit par tomber enceinte de moi. Mais mon père ne voulait pas dévoiler l'existence des dieux a sa femme, de peur de la mettre en danger. Lorsque je naquis avec de belles et grandes ailes blanches, il ne laissa même pas le temps à ma mère de me voir avant de me cacher. Je vécu donc les premières années de mon existence à l'écart de la civilisation, avec mon père qui me rendait visite de temps à autre. Le reste du temps, je le passai avec la nourrisse naïade que mon père avait engagé. c'est elle qui s'est chargée de mon éducation. Elle m'a appris à aimer la nature et mon prochain, à les respecter et à vivre en harmonie avec eux. Cette femme au cœur d'or m'a élevée comme sa propre fille. Mais, un jour, pour des raisons qui me reste encore obscures, le dieu des vents du partir en me laissant derrière lui dans les mains de ma mère. La perte de son âme sœur terrassa ma génitrice. Elle étancha donc sa tristesse et sa solitude dans l'alcool, me laissant aux soins des domestiques de maison. Je faisais bien attention à cacher mes ailes comme me l'avait conseillé mon père. Mais un jour, Aleksandra rentra dans ma chambre alors que j'étais en train de me changer, encore saoulée. Elle écarquilla les yeux à la vue de mes fines et délicates ailes puis, elle me traita de monstre, son regard devenu froid et accusateur posé sur mon dos. Son esprit n'étais pas très claire alors elle pris le couteau qui m'avait servit à prendre le dîner, encore sur ma table de nuit avec le reste de mes couverts, et s'approcha de moi. j'étais terrifiée, je ne pouvais plus bouger, encore moins parler. Et, avant que j'ai eu le temps de me retourner, elle me plaqua sur le lit. Je n'étais pas assez forte pour me dégager, malgré mes incessantes tentatives. Elle se mit alors a découper les ailes à la racine en me murmurant de son haleine alcoolisée : tu es un monstre, je fais ça pour ton bien. J'avais beau crier, elle ne lâcha prise que lorsque mes deux ailes ensanglantées gisaient au sol et qu'une tempête sans précédent faisait rage dehors. Le personnel de maison accouru pour me soigner. Au final, après de longs mois de convalescence, je fus de nouveau sur pied. Mais j'étais marqué a vie, là ou avant s'épanouissait une paire d'aile gracieuse ne gisent aujourd'hui plus que deux cicatrices ardentes. Dès que je fus en état, je m'enfuis de chez moi, laissant mon passer, ma colère et toute forme de violence derrière moi. Et c'est une douce brise estival qui me mena alors à l'orphelinat de Héra. Aujourd'hui, il m'arrive encore de regarder le ciel et de rêver voler de nouveau avec les oiseaux, respirer l'air glacial de l'altitude, admirer la terre sous un angle ... divin.