L'attaque à l'orphelinat ... Maxime ne se souvenait de presque rien de ce qu'il c'était passé durant cette journée, ça mémoire c'était effacée ... Ah, si, un palmier qui n'était pas à ça place. Et Plumia aussi, qui se faisait enlever par un grand piaf ... Quel ironie. Toujours est-il que quand il avait reprit ces esprits, il était allongé dans le couloir de l'orphelinat. Tout semblait chaotique malgré le calme qu'il régnait. Maxime tenta de se lever, baignant dans une marre de son propre sang. Ça tête lui faisait mal, ça vision était brouillé et il avait des vertiges. Le pied quoi. Il prit appui sur ses coudes pour se redresser, inspectant chaques éléments qui l'entouraient. Un bruit de pas vint troublé ce calme infernal. Le sang dans lequel Maxime baignait s'agita légèrement et rejoignit ses plaies doucement, tout doucement. Il sentait ses muscles reprendre de la vigueur, ou du moins un semblant.
"Mince, c'est déjà terminé ? Je savais que j'aurais dû posé un lapin à cette nymphe, elle m'a retenu trop longtemps je vais me faire engueuler par Alania si je reviens les mains vide."
Les bruit de pas ce rapprochaient, tans dis que Maxime faisait le mort. Le dieux, car s'en était un et Maxime s'en doutait suite à ces propos, lui donna un petit coup de pied dans la tête pour voir si Maxime réagissait. Aucune réaction de sa part.
"Tsssss ils ont réussi à en tuer un, je croyais pourtant que l'on avait l'ordre de ne pas abîmer les demi-dieux"
Maxime réuni ces force pour planter un couteau de sang dans le pied de l'homme qui le surplombait ce qui lui fit lâcher un grognement d'étonnement et de douleur.
"Espèce de petit con !" Il shoota dans les côtes de Maxime du pied dans lequel ce dernier avait planté le couteau en sifflant de douleur, l'envoyant roulé sur quelques mètres.
"Toi ... je t'embarque, ça rattrapera mon retard."
Maxime le vit se pencher au dessus de lui, puis plus rien.

*Où est-ce que je suis ? ... C'est calme ... Je sens plus mes doigts ... Aller réveille toi !*
Maxime ouvrit les yeux. Il jeta un coup d’œil à ses blessures... Quelles blessures ? Ces bras était bander, son ventre aussi. Il essaya de ce relever mais quelque chose lui fit légèrement mal au ventre. Le dieux avait dû lui casser une côtes, mais Maxime semblait avoir été soigné ... Connerie ! Quel imbécile va kidnappé quelqu'un puis prendre soin de lui comme on prend soin de ces gosses ? Cela étant dis, la pièce dans laquelle il se trouvait concordait avec son enlèvement : une cellule, des barreaux, pas de fenêtre. Maxime se redressa malgré la douleur puis se leva. Combien de temps il avait dormi ? il n'en savait rien mais en tout cas il avait été soigné il n'y a pas si longtemps car les effets de l’anesthésie se ressentait encore, et les bandages étaient propre. Il fût étonné de ne pas être attaché ... La pièce était extrêmement lumineuse, les mur et le sol était blanc ... Du marbre ... Les barreaux en or ... C'est un métal plutôt facile a plier l'or ...
*Ok comment je fais pour sortir moi ?
Rapide coup d’œil au barreaux ... Bon c'est inespéré mais si on force un peu ça peut peut-être bouger un peu. Il attrapa un barreaux à pleine mains mais un léger choc électrique, largement assez fort pour lui faire lâcher le barreaux de suite lui parcouru le bras.
*C'était idiot mais qui ne tente rien n'a rien ...*
Il tendit l'oreille ... quelques murmures se faisaient entendre. En face de ça cellule, une autre ... Occupé par une fille au cheveux rouge dont il distinguait mal les trait du visage ... Il remarqua un bandage autour de son épaule. Elle semblait dormir sur la couche de sa cellule. D'après ce qu'il c'était passé ça ne pouvait être que Plumia. Il chuchota assez fort pour qu'elle entende mais sans qu'on entende le timbre de sa voix.
"Eh, Plumia, debout réveilles toi !"

Après son appel elle ne mit pas longtemps à ouvrir les yeux. Elle semblait ... perdue, hésitante. Elle se leva avec peine et se rapprocha des barreaux de ça cellule. Maxime, qui c'était rapproché des siens eu un mouvement de recul brusque. Il n'avait aucune envie de ressentir le choc électrique qui lui avait parcouru le bras quelques instants plus tôt
-Maxime?! c'est bien toi?
Des larmes se formèrent aux coin de ses yeux et glissèrent le long de ses joues. Un sourire de soulagement illumina sont visage. Qu'est ce que ça peut être fragile une fille. Toujours besoin d'un homme pour les protéger et les rassurer. Les larmes sont inutiles. Elles brouillent la vue. Et la tristesse est une faiblesse, car elle embrume notre réflexion et nos pensées. Au même titre que la colère et la haine. C'est d’ailleurs le cas pour la plus part des sentiments ... Quoique, la haine peut apporté éclaircissement. Comme celle que Maxime éprouvait envers sont père, qui l'avait aidé a voir plus claire quant à son but dans la vie : Tuer celui qui l'avait abandonner à la naissance... Pouvait on appelé ça un père ? Non ... plus un géniteur. Toujours étant que la seule pensée que lui inspirait le mot "père" était la haine, accompagné d'un bon nombre de pulsions meurtrière. Pourquoi ne pas tout simplement avoir envie de faire très mal à celui qui l'avait mit au monde plutôt que de le tuer ? Aucune idée ... La mort était tout ce qu'il méritait.

Ce moment d'égarment prit une place de deux à trois seconde dans la tête de Maxime. Il cligna des yeux et reporta sont attention à Plumia, dont le regard larmoyant attendait une réponse.
Bien sur que c'est moi. Tu connais un autre beaux gosse brun au yeux vert qui ce lacère les bras ? dit-il avec un ton ironique, montrant les bandages sur ces avant bras. Ta blessure à l'air d'avoir été guérie, comme les miennes... C'est pas normal qu'on s'occupe de nous comme ça. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi ils nous ont enlevé.
Il sourit calmement. Toute son attitude était calme, il réfléchissait sans arrêt a comment sortir de cette prison. Pas qu'il voulait retourné à l'orphelinat, car ça ne lui manquait pas du-tout. Ce qui lui manquait, c'était cette liberté que ces barreaux de malheur l’empêchaient d'obtenir. Il aimait bien l'orphelinat, les gens étaient gentil, surtout Héra, bien qu'elle soit sévère. Mais rien de tout ça ne lui manquait. En aucun cas il n'avait de besoin vitale de revoir cet endroit, même si il y retournerait volontiers, surtout si il devait choisir entre ça chambre et cette cellule.
Il demanda à Plumia:
Bon je pense qu'on va rester là un moment. Est-ce que tu sais qui nous a amené ici ? Ça pourrait être un bon début pour savoir ce que l'on nous veut.
La réponse importait peux, mais parlé était le meilleur moyen de la calmer.

Finalement, cette question avait fait tilter Maxime. C'était donc le palmier qui avait organisé l'enlèvement... Ehe, elle l'avait d'ailleurs envoyer valsé. Après tout, il ne pouvait pas lui en vouloir de l'avoir fait voler, car il était sur le point de la découper. Cela étant, si c'était bien elle la "chef", le mieux serrait de se débrouillé pour se faire remarquer dans le but d'obtenir un contact direct. Un contact veut dire une possibilité de négocier, de manipuler, d'observer. Maxime eu un bref moment de transition entre ses pensées et sont observation au moment ou il vit Plumia s'approcher des barreaux.
Stop ! Ne touche pas aux barreaux, ça fait super mal. Il doivent être électrifiés je pense. Pas assez pour être dangereux mais assez pour te faire lâcher de suite.
Il avait parlé assez vite et fort pour évité a Plumia de se prendre un coup de jus. Il reprit d'une voix calme :
Ne t'inquiète pas, un jour ou l'autre je te ferais sortir. En attendant il faudra que tu attendes. Tu vas voir, ça va passer vite. Il suffit de trouver quelque chose à faire.
Il n'y croyait qu'a moi hier lui même. Au même moment un groupe de deux gardes passa devant lui. Il les observa de la tête au pied, apprenant chacun de leurs détails personnels. Celui de gauche avec un cache œil. Celui de droite était blond et avait un cicatrice sur la joue. Dans la tête de Maxime, une liste ce forma :
A : cache oeil
B : blond cicatrice
Pendant qu'il réfléchissait et ce rappelais cette liste en boucle dans ça tête pour l'apprendre par coeur, il se mordillait le doigts. Il devait faire légèrement peur vue de l'extérieur ... Il regardait dans le vide, ayant presque oublier Plumia dans l'autre pièce. Toute la durée de ça captiviter, sont objectif serra de récupérer un maximum d'information sur les lieux, les gardes, les rondes de ces derniers. Tout ça jusqu'au jour ou il essayera de s'enfuir. Et puis si ça ne marche pas la première fois, il réessayera.
Voilà ce qui composait la réflexion de Maxime actuellement : Observation, réflexion, évasion. Il voulait absolument retrouvé ça liberté. Observation, réflexion évasion, Observation, Plumia ... Non ... Réflexion ... Plumia... Elle prenait une place dans les pensées de Maxime. Une place qu'il ne lui avait pas attribué, ou du moins pas consciemment. Il reprit ces esprits a cause ... Ou grâce ... À cette pensée envers Plumia. Il se rendit compte de ce qu'il faisait. A force de se mordiller le doigts, celui ci saignait. Maxime passa ça main derrière sont dos et reprit sont air calme habituel. Il s'assit en tailleur en face de Plumia, ignorant totalement si oui ou non elle lui avait adressé la parole entre ces deux moment de lucidité, couper par un court temps de réflexion aveugle. Il faudra qu'il évite ça a l'avenir. Il devait rester attentif a TOUT ce qui l'entourait.

-dis Maxime.... qu'allons nous faire en attendant... J'ai peur, pour nous et pour maman.. la dernière fois elle était évanouie et gémissait de douleur, tu penses qu'elle va bien?
La rassurée ... Le pire ennemi dans cette situation c'est la panique.
Bien sur qu'elle va bien, elle est solide. Tu n'as pas à avoir peur ni pour nous ni pour elle. Nous, ils nous on gardé en vie et soigné. C'est qu'on ne doit pas risquer grand chose. Quant à ce que nous allons faire ... Nous allons rester calme et attendre... C'est la seule chose valable à faire. Et n'utilise tes pouvoirs en aucun cas. Il vaut mieux cacher ça force. Ceux qui nous ont capturé doivent les connaitre, surtout que j'ai du en amocher un. Mais ... Un autre groupe de garde passa entre eux. A peine 30secondes entre le passage des deux groupe. Il nota les caractéristique physique de chacun dans un coin de ça tête en espérant ne pas avoir a en retenir une quarantaine. Il attendit qu'ils s'éloignent.
Mais les gardes ne savent surement pas de quoi nous sommes capable. Ils semblent assez détendu en plus. Ils sont aveugle. Il devrait faire attention a eux. Mais passont. Comment tu te sens ? Physiquement et moralement ? En tout cas dis toi que tu ne risque rien. Je suis là dans le pire des cas.
Etre rassurant ... c'était compliqué dans cette situation. Après tout, la séquestration n'a jamais été quelque chose de simple a vivre. La morsure sur sont doigts avait déjà commencée à cicatriser. Quelle heure était il ? Faisait-il jour, ou nuit ? Toute ces questions de rapport au temps restait sans réponse. Dans ça tête, il se répétait sans cesse les caractéristique de chaque garde. Puis il lui vint une idée. Juste après avoir poser ça question, il jeta un coup d'oeil à ça couchette. Il pourrait sans problème cacher quelque chose en dessous. Tout en gardant un oeil sur Plumia en attendant ça réponse, il enleva ces bandages, laissant ces bras couverts de cicatrices à l'air libre, les nettoya de sont sang en toute discrétion, les enroula, et les mit sous sont lit. Le premier pourrait servir a écrire dessus avec sont sang et le deuxième pourrait toujours servir comme une arme. Un long bandage solide comme ceux-ci pourrait servir pour étrangler quelqu'un. Puis il se remit en tailleur face à Plumia, comme si de rien était.

Plumia sourit. Un sourire rassuré mais qui ne dura pas longtemps. Des bruits de pas se firent entendre, accompagné d'applaudissements. Maxime regarda Plumia d'un air le plus rassurant possible mais elle ne le regardait pas, elle regardait l'homme qui s'avançait vers eux. Il s'arrêta et se tourna vers Maxime qui le regardait calmement, sur ces gardes.
- Hé bien… Tu est doué pour mentir, je te l'accorde.
Mentir ? Merde. L'enfoirer. Comment a-t-il pu écouté notre conversation ? C'est à noté, ne plus dire à haute voix quelque chose qui pourrait compromettre une évasion ou quoi que se soit d'autre. Il se retourna vers Plumia puit fit des aller retour entre les deux cellules. Puis s'arrêta. Maxime attendait, calmement, sur ces gardes.
- Donc c'est vous les gosses de l'orphelinat d'Héra huh ? Je dois avouer que je m'attendais à mieux… Mais soit ! Ce n'est pas le sujet ! Comme je disais… Tu mens bien… Quand la personne en face est très crédule. Tu n'as aucune idée de comment votre chèèèère déesse déchue se porte…

Effectivement, il n'avait aucune idée de sont état. Mais il y avait une certitude : Héra était une femme forte et c'est peu de le dire. Comment ça il s'attendait à mieux ? Grrrrrr un jour il lui montrera de quoi il est capable.
Mais moi je le sais.
Oh, très bien. Mais encore ? Toute la personnalité de cet homme était humiliante ! Comment avait il pu se faire capturer par des gens qui compte des personnes tel que lui dans leurs rangs ?! Chacun de ses mouvement semblait ironiquement surjoué et tout cela pour sans aucun doute se moquer d'eux. Le dieux prit un air atristé tellement pathétique qu'il inspirerait presque de la pitier si il n'avait pas se regard malicieux et "pervers". Un regard manipulateur qui semble vous reluqué des pieds a la tête comme celui d'un homme affamé devant sont repas, mais qui se retient de sauté dessus.
- Vous lui manquez terriblement ! C'est affreux ! Elle s'en rend malade. Mais, je n'aurais aucun mal à la contacter… Et à lui dire que vous allez bien… Vous pourriez même la voir probablement ! Vous savez… Ce ne sera pas un problème… Je suis son fils, et elle se languie aussi de moi… Ça lui ferait tellement plaisir.
Eh bien au moins ça c'est dit, Héra est en vie et se porte assez bien pour pouvoir réfléchir. Sion elle ne s'inquièterait pas. Le dieux se téléporta près de la porte de la cellule de Plumia. Maxime faillit réagir mais se retint. Ces muscles complètement contracté en un quart de seconde firent craqué tout les os de sont dos et des ses épaules. Les craquement ne se firent presque pas entendre. Maxime fit craqué ça nuque d'un mouvement circulaire de la tête et se détendit. Sont regard n'avait rien d'agressif. Juste un reflet rouge dans ces yeux vert.
Le choix est votre !
A vrai dire, Maxime n'en avait rien a faire de savoir comment se portait Héra à se moment. Elle était en vie c'est tout se qui importait pour le moment. Plumia regardait Maxime d'un air désespéré. Il lui rendit un sourire. Plumia voulait sans doute voir ça mère. Quel que soit sont état, si Plumia devait la voir, Maxime voulait être avec elle. Il voulait être là ... Pourquoi ? Aucune idée.
Il prit la paroles d'une voix monotone :
Bien sur que nous voulons la voir, qu'elle sache que nous allons bien, mais qu'est ce que cela vous apportera ? A part la mettre en colère et renforcé ça détermination, lui dire que nous nous portons a merveille chez nos ravisseur, que nous sommes plus en sécurité ici qu'avec elle, ne servira à rien ... Mais bon, vos actions on déjà prouvé votre envie de la faire souffrir alors autant lui apporté le réconfort de savoir que notre état n'est pas à déplorer.
Il fixait l'homme dont les yeux les regardaient a tour de rôle. Sont sourire donnait à Maxime une envie de meurtre.

Comment dire ... La situation était ... Tendue...
Maxime regardait Plumia qui commençait à exploser de rage sans même pouvoir bouger pour la réconforter. De plus, le dieu qui ce trouvait entre elle et lui cherchait clairement a les rendre fou. Si cela de fonctionnait sans doute pas comme il le souhaitait sur Maxime, Plumia ce faisait avoir a merveille. Le mieux serrait d'attendre, d'attendre que cette ordure s'en aille, quelque soit l'état de Plumia à son départ. Après cela Maxime pourra lui parler, la réconforter... Mais tans qu'il était là, il ne serrait d'aucune utilité derrière ces barreaux.
Et puis dans le pire des cas, Plumia n'était pas ça principale source d’intérêt pour l'instant. Il voulait l'aider, qu'elle aille bien et qu'elle se sente en sécurité. Mais la priorité pour Maxime c'était de sortir de là quelque soit le moyen et les compromis. Après tout, personne ne lui en voudrait de ne pas l'aider, si il faisait comme si il n'avait pas pu. Et puis, ça n'est même pas sur qu'il arrivera lui même à se sortir de là ...
Toujours étant que Plumia était en colère.
Maxime souffla d'exaspération et alla s'asseoir dans le fond de sa cellule, fermant les yeux et ne se concentrant que sur les informations déjà recueillit sur les tours de gardes, les gardes en poste, le dieux qui se trouvait face à eux ... Tout ça ce mélangeait dans ça tête. Il devait trouver un moyen pour sortir. Ce comportement ce rapprochais plus de celui d'Athéna que d'Arès me direz vous ? En quelque sorte, si l'on exclu sa soif de sang, de meurtre, son envie de casser chaque os qui tombera sous ça main, même si cela devait lui coûter son évasion, chaque personne qui se mettrait en travers de son chemin quand il sera décidé de sortir devra périr. Toutes les informations qu'il était entrain de trier lui servirait à ça en temps voulu, causer un maximum de dégats dans les rang de ses adversaires. Tels étaient les pensées de Maxime. Son sang bouillonnait de rage, une rage contrôlée que Maxime ne laisserais débordé que plus tard.

Maxime ouvrit les yeux pour voir Plumia ce jeter à corps perdu sur le dieux, le poing serré. Un petit sourire apparu sur le visage de Maxime. Elle lui plaisait de plus en plus. Le regard enragé qui sortait de son regard faisait sourire Maxime qui ne faisait qu’apprécier cette scène de pur violence de la part de Plumia. Le dieux quand a lui avait un sourire carnassier jusqu'au oreille. C'était sans aucun doute le but de la manœuvre, faire en sorte que Plumia s'énerve.
Plumia ... Bien trop faible ... Autant dire un insecte face à la personne qu'elle tentait de réduire a l'état de victime dans cette histoire. Bien que Maxime n'ai pas la moindre pitié envers elle, cette élan de violence qui avait surgit au fond de ça personne ne faisait que le séduire. Après tout avec un peu d'expertise, elle pourrait bien devenir redoutable en situation critique. Mais là, rien n'était en ça faveur : ces pensées étaient brouillés par la colère, sont coup était maladroit et inoffensif ... Et puis elle n'est pas très athlétique la pauvre.
La suite des évènements allait pouvoir suivre deux voix : soit Plumia arriverai a porté son coup ce qui pourrait être extrêmement divertissant, soit elle se ferrait écrasé par la puissance de son adversaire ce qui, avouons le, est la suite la plus probable.
Maxime croisa les bras et observa la scène qui se déroulais sous ces yeux avec un sourire amusé et un regard vide, rouge sang.

Maxime ce leva alors que Plumia s'acharnait sur le dieux insensible. Il s'approcha des barreaux de ça cage et la regarda avec un air amusé.
- tu vas crier oui !! réagis, defends toi ! frappe moi, cri je sais pas fais quelque chose t'es con ou quoi!?

Cette rage qui courait en elle ne le faisait que de plus en plus sourire. Jusqu'à ce qu'elle s'arrête, en laissant là le dieux qui n'avait pas bronché. A se moment Maxime ressentait comme un vide dans son esprit. Il ne savait pas pourquoi mais la violence qui régnait dans cette prison l'attirait.
-t'es une coquille vide en fait, tu ne ressens plus rien depuis longtemps tu es juste cruel, tu veux voir les autres avoir une expression que tu n'auras jamais...

Il en avait marre d'attendre lui aussi voulait frappé dans quelque chose lui aussi voulait montrer ça colère ! Il attrapa un barreau de ça cellule à pleine main. Le choc électrique lui fit froncé les sourcils, mais il puisait dans toute ses forces pour tenter d'arracher le barreau de la cellule. Ces efforts étaient vain bien évidemment, mais la douleur de l’électricité a travers son corps et la contraction de chacun de ses muscles lui donnait de telles poussée d’adrénaline qu'on eu presque cru qu'il en était capable. Quand il lâcha enfin, sans le moindre cris sans le moindre signe de douleur, sont sang avait commencé à bouillir dans son bras, conséquence d'une trop longue exposition au choc électrique. Il se retourna en balançant le bras comme pour faire disparaître la douleur, puis dans un élan de colère, il pivota en hurlant en éclatant son poing contre ce même barreau. Sa main était en sang, la plus part de ses phalanges cassée. Toute ces belles paroles et son coté tacticien venait d'être soufflé par cette élan de violence. Malgré le fait que le barreau n'est pas bougé d'un pouce, un léger impact d'un cm de diamètre était visible sur celui-ci. Un rire dérangé s'échappa de la bouche de Maxime.
Moi aussi ... j'ai envie de m'amuser ...

Maxime fit volte-face au moment même ou le dieu disparu de la cage de Plumia. Juste après que son adversaire est finit de parler, il lui envoya un coup de pied sur le coté du genoux, un coup qui briserai n'importe quel os normalement constitué, puis lui envoya un magifique crochet dans la machoire. Chacun de ces coups était porté avec une force digne d'un champion de boxe 2 fois plus lourd que lui. Cette force qu'il avait hérité de son père. Il enchaîna en attrapant la tete de son adversaire à se main, et envoya son genoux dans son nez, le faisant tombé en arrière. Maxime les toisa et faisant craquer ses doigts. Ça faisait beaucoup de bien. Cela devait faire quoi ... 2 semaines qu'il ne c'était pas battu dutout. Si on ne comptait pas l'attaque à l'orphelinat. Le calme revenait peu a peu dans ces yeux
Qu'est-ce que tu cherches a faire exactement ?

Maxime eu un ricanement sourd. Un ricanement qui se transforma en rire macabre. Il regarda en direction du dieux. Il avait envie de le briser, le briser centimètre par centimètre. Lui faire fermer ça grande bouche après lui avoir arracher chaque dents à la main.
"Tu me fais rire tu sais ? Je sais que tu peux faire bien plus que te laissé frappé comme ça, je veux te voir riposter, je veux sentir la douleur de tes coups sur ma peau, pour te la renvoyer de plus belle. Je veux te voir souffrir, la seule vue de ta personne me répugne, tu n'es qu'une sous-race parmi les dieux, un enfant rejeté de ça mère parce qu'il est trop borné et que ces couilles ont disparu dès la naissance.
Maxime se retourna et écarta les bras, dos à Plumia et au dieux.
VIENS TE BATTRE PLUTOT QUE DE CHOUINER ! Je veux ton sang pour repeindre les murs de cette cellule si ennuyeuse !
Il tourna la tête pour regarder Plumia. Il lui fit un grand sourire puis un clin d'oeil tout en s'adressant à elle.
Je ne te promet rien, tu as l'air de croire que je suis un grand nounours tout gentil, mais tu es aveugle, la seule chose qui me fait me sentir en vie a l'heure actuelle, c'est la guerre. Le sang. La douleur.
Il fit les cents pas dans ça cellule, un sourire au lèvre qui s’effaçait puis réaparraisait irrégulièrement sur son visage.