Les dieux grecs ont été déchus et réduits à l'etat de mortels par leurs descendants divins, ignorés de tous. Ils ont pris leurs places et créé la Nouvelle Olympe!
 
Nous avons fortement besoin de nouveaux dieux ayant des fonctions importantes! (Ciel, Nuit, Amour etc...)
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" Ultionys "
Ultionys
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MessageSujet: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyMer 15 Avr - 17:12







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Un, deux, trois, ce sera toi !


Ultionys était d'humeur vengeresse en ce début de soirée. Comme toujours, en fait. Il était donc descendu de son petit logement du Mont Olympe pour venir se ressourcer au périphérique parisien. Oui, c'était très reposant pour lui: il pouvait voir dans leurs petites voitures des centaines de gens qui, chaque jour, défilaient le long de la route. Autant d'âmes vivant dans le pêché et l'injustice qu'ils avaient eux-mêmes crées. Un petit accident par-ci, des pneus crevés par-là, c'était l'idéal pour punir plus ou moins ceux qui le méritaient. Tout ça, il ne le faisait pas toujours directement, bien-sûr, il le provoquait chez les gens. Il pouvait faire grandir le désir vengeur, mais lui aussi en avait un énorme. Il se nourrit de tout ceux qui existent dans le monde, dont il est responsable, pour pouvoir rétablir la justice. Ainsi, il peut punir ceux qui le méritent rien qu'en se concentrant sur la sanction qu'ils devaient subir. Ce qui fait que parfois, c'est celui qui doit être sanctionné qui se punit tout seul, sans le savoir.

En une heure, Ultionys avait déjà enlevé l'essence de trois automobilistes qui se retrouvaient alors sur la borne d'arrêt d'urgence; crevé six pneus de voitures qui faisaient une petite pause dans des coins de repos (enfin, qui étaient censés être reposants) et fait vomir deux conducteurs. Pourquoi ? Ils avaient des dettes envers la justice.

Après tant de travail, il décida à son tour de se reposer un peu, dans une petite aire verte, hors de l'agitation du trafic routier. Il se mit sous un arbre en observant le ciel bleu, quoique pollué, afin de voir s'il pouvait voir le Mont Olympe. Il ne le vit pas. Mais alors qu'il s'apprêtait bientôt à reprendre son travail, il eût une drôle de sensation: quelqu'un allait venir. Elle n'aurait rien à payer aux autres, et personne n'aurait de dette envers elle. Ce serait un étrange cas... Le dieu vengeur se releva alors, regardant autour de lui s'il ne voyait pas quelqu'un qui s'approchait vers lui.







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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyJeu 16 Avr - 16:51

     
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Je m'ennuyais... Je m'ennuyais comme un rat mort. En supposant qu'un rat mort s'ennuie, lui. Je traînais au bord du périphérique parisien, un endroit où les voitures font un bruit pas possible. Il n'est pas dans mes habitudes de me promener dans le coin mais que voulez-vous avec l'ennuie on fait des choses qu'on ne fait pas d'habitude. Je tenais en équilibre sur les barres de métal sur les bords de routes. Les bras sur les côtés, la tête haute, j'étais concentrée sur mon perchoir où j'avançais pas à pas. Quand je passa devant une air de repos j'entendis quelqu'un se plaindre. Les humains devraient arrêter de se plaindre un peu dans leurs vies, et d'en profiter un peu plus. Par exemple, eux ils ont souvent une famille, moi je n'en ai pas. Comment ça fait d'avoir une maman ? Ou un papa ? Un frère ? Une sœur ? je ne le sais pas mais je l'ai sûrement su... Un jour... Perdu dans mes pensées, je manquais de trébucher et de tomber sur la voie passante. Il y un klaxon. Mais rien de bien méchant. Je décidais de me rapprocher de la verdure plutôt que de restais au bord bord du périphérique. De petits lapins gambadaient à mes pieds. L'un se mit à se blottir à mes pieds. Je le pris dans mes bras et alla m'installer sous un arbre. Je m'allongea ma tête sur les racines de l'arbre et le lapereau sur mon ventre. Et je mis à contempler le ciel et ces nuages. Cette grande étendue qu'est la voûte céleste. Ce bleu ci-caractéristique de ceux ciel de printemps. Ce bleu qui est aussi la couleur de l'ozone. Quand je me suis promenée au collège Jules Ferry, j'avais espionner un cours de physique de 4ème. Le professeur expliquait aux élèves que le ciel ou autrement appelé couche d'ozone était nécessaire à la vie car sinon un froid glaciale régnerait sur Terre et que les rayons UV nous brûleraient la peau. Bref. Je sortis de  mes pensées. Les nuages prenaient des formes que m'amusais à prononcer tout haut. Sûrement pour que le lapereau endormis m'entende : « Regarde là-bas on dirait une tortue, et puis là-bas il a aussi un dragon... » Je me mis à rêver de nuages et d'autres chimères. Et puis je fus entraînée. Par une femme. Elle était apeurée et elle me disait de m’enfuir long et que tout était perdue. Je courrais à ses côtés à toute allure. Et puis je fis du feu. Un grand bûcher. La jeune femme me disait hurlé de courir mais mes jambes en était incapable. Et puis j’eus tellement mal à la tête que j'hurlai. Je me la pris entre mes bras en tremblant. J'avais littéralement l'impression que l'on me décapité lentement. Très très lentement. Je me mis à brûler. A flamber comme une torche. Et puis je me réveillais en sursaut. J’haletai. Mes yeux étaient remplis de terreur. Je regardais mes genoux fixement pour revenir à moi. Et puis je leva les yeux. Et je vis un beaux jeune homme vêtu de noir. Il me regardais, perplexe. Je le regardais, surprise.


     

     
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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyLun 27 Avr - 15:34







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Le dieu regarda donc autour de lui. Au loin, il ne vit rien qu'une famille organiser une excursion aux toilettes publics. Ultionys se dit que la personne qu'il recherchait avait peu de chances de se trouver là-bas... Il se rapprocha petit à petit de son champ de vision proche. Et là, il vit une jeune fille juste à côté de lui, endormie. Il la fixa un moment, se demandant comment il avait pu ne pas l’apercevoir. Elle dégageait cette étrange aura, comme si elle pouvait échapper aux méandres de la justice. Ultionys compris donc que c'était elle avec qui il devait parler. Soudain, elle se réveilla en sursauts, comme de par hasard. Elle haletait, observait des genoux, comme abasourdie. Elle finit par relever la tête et fixer le dieu. Après quelques secondes, celui-ci se décida à commencer une conversation. Il se dit qu'il ne devrait pas commencer par lui parler de l'étrange impression qu'elle dégageait, que lui même avait du mal à comprendre.

"Coucou ! Enfin, bonjour, quoi... Ça... Tu vas bien ? On dirait que.. tu as fait un cauchemar. Euh... voilà."

Ultionys détourna son regard de la jeune fille, se disant qu'il était vraiment... pas doué. Il regarda les nuages du ciel, y voyant du feu, du sang, des couteaux et des armes. Il se sentit plus à l'aise du coup, et se remis à regarder celle qui devait sûrement ce demander un truc du genre: "c'est qui, ce type ?".







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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyMer 6 Mai - 16:30

   
Un, Deux, Trois, Ce sera toi !

   
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Il me regardait, je le regardais. Cette personne se tenait accroupi en face de moi. Un jeune homme vêtut de noir, au cheveux et aux yeux noirs. Seule sa peau claire contrastait avec l'ensemble. Je le fixais. J'essayais de percevoir ses intentions. Celle-ci ne sont sûrement pas mauvaise, mais, je me méfiais comme même. Dans ses habits noir, il semblait menaçant, mais son doux visage était pour moi la preuve que ce garçon ne me voulait aucun mal. Alors que je recroisais son regard il me dit :


    ▬« Coucou ! Enfin, bonjour, quoi... Ça... Tu vas bien ? On dirait que.. tu as fait un cauchemar. Euh... voilà. »

Il détourna son regard de moi, pour aller contempler à son tour les nuages. Il paraissait honteux. Certes, cette approche était maladroite, mais il n'y a aucune honte à ça. La question qui me torturait tout à l'heure me revient soudainement à l'esprit. *Mais au fait, qui est cette personne à l'apparence si dure, et pourtant au conportemment si gentil ?* Je tournais la tête dans la même direction que le garçon. Je n'y voyais que des nuages. Des nuages clairs qui pour moi n'avait aucune forme. Il me regarda à nouveau, je fis de même et je lui dit le sourire aux lèvres :


    «Salut ! Oui je vais bien maintenant que je suis réveillée, parce que comme tu l'as deviner je faisais un mauvais rêve. Je me présente ! Je suis Dérianna, l'esprit stellaire du verseau. Ma mission est de redonner le sourire et l'espoir aux habitant de le terre. Et toi ? Qui es-tu ?»


Je me relevais et je lui tendit la main pour l'aider à faire de même. Je sentais déjà que je pouvais être amie avec ce jeune homme que je ne connaissait pas, et dont à présent je plaçais en lui une confiance presque aveugle.


   

   
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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyMer 13 Mai - 17:19







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"Salut ! Oui je vais bien maintenant que je suis réveillée, parce que comme tu l'as deviner je faisais un mauvais rêve. Je me présente ! Je suis Dérianna, l'esprit stellaire du verseau. Ma mission est de redonner le sourire et l'espoir aux habitant de le terre. Et toi ? Qui es-tu ?"

Ultionys tressaillit. Un "esprit stellaire" ? Il pencha légèrement la tête et tenta de rentrer dans ses souvenirs en plongeant dans son regard. Cette fille l'intriguait de plus en plus. L'impression étrange du dieu semblait s'être affirmée. Ultionys sentait bien que la vengeance ne pouvait par intervenir dans son cas, en aucun cas. Il lui semblait qu'elle avait payé tout ce qu'elle avait fait de mal - il doutât même qu'elle ai jamais fait quelque chose de mal - ou alors que les gens qui lui étaient redevables lui avaient tout réglé. Elle n'avait aucune dette, aucune vengeance à opérer, du moins c'est ce que ressentait le dieu.

"Oh, enchanté, appelle-moi Ultionys. Je suis... enfin, ça n'a pas d'importance. Disons que je règle ce qui doit être réglé. Mais... tu es un esprit stellaire ? Et tu dois redonner sourire et espoir ? Tu dois donc être au courant de tout ce qu'il se passe..."

Ultionys redressa sa tête jusqu'à présent penchée et laissa le temps aux mots d'imprégner son esprit. Il se dit que si sa mission était de faire du bien autour d'elle, c'était bien qu'avant, elle avait dû faire quelque chose de mal. Peut-être dans une autre vie, un esprit n'est qu'un esprit après tout. Il reprit la parole, comme pour finir une phrase qu'il aurait laissé en suspens.

"Je sens une parfaite justice en toi, et pourtant, tu veux dis vouloir aider les autres comme si tu leur devait quelque chose. Pourquoi fais-tu cela ? Tu... ton passé, explique-le moi."

Le dieu vengeur ne se rendait pas vraiment compte de son manque de tact impressionnant. On lui avait toujours dit qu'il était... étrange, et cela n'avait fait qu'aggraver son soucis de sociabilité.







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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyMar 26 Mai - 11:13

    

    
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«Salut ! Oui je vais bien maintenant que je suis réveillée, parce que comme tu l'as deviner je faisais un mauvais rêve. Je me présente ! Je suis Dérianna, l'esprit stellaire du verseau. Ma mission est de redonner le sourire et l'espoir aux habitant de le terre. Et toi ? Qui es-tu ?»

Quand j'eus annoncé mon "rang" le jeune homme parût perplexe. Il pencha sa tête de coté et je fis de même pour ne pas quitter son regard. Il me rapellait vaguement quelqu'un, quelqu'un que j'aurais connu dans une vie antérieur. Quelqu'un. Mais qui ? Quelque chose me disait que c'était une personne proche. Mais qui !? Mais qui !? La mémoire ne me revenait pas. Je ne me rapellais que d'une chose. Les flammes de mon rêve. Enfin j'étais persuadé que j'avais rêvé de flammes ou quelque chose comme ça. Le jeune homme me tira de mes pensées en me répondant :

«Oh, enchanté, appelle-moi Ultionys. Je suis... enfin, ça n'a pas d'importance. Disons que je règle ce qui doit être réglé. Mais... tu es un esprit stellaire ? Et tu dois redonner sourire et espoir ? Tu dois donc être au courant de tout ce qu'il se passe...»

Pourquoi ces questions ? J'avais l'intime conviction que j'avais un lien avec cet Ultionys. Mais je ne me rappelle pas d'un souvenir le consernant. L'espoir et le sourire... Mais je ne sais pas pourquoi je dois les «redonner». Pourquoi ? Qu'est-ce qui ce passe ? Ultionys continua :

«Je sens une parfaite justice en toi, et pourtant, tu dis vouloir aider les autres comme si tu leur devait quelque chose. Pourquoi fais-tu cela ? Tu... ton passé, explique-le moi.»

Ton passé, explique-le moi. Cette phrase résonna dans ma tête. Comment expliquer quelque chose qu'on ne connaît pas soit même. Et puis je ne suis pas redevable envers le monde. Enfin je ne crois pas. Cette justice parfaite qu'il prêtant sentir en moi comment peut-il la ressentir ? Par quel... Suis-je idiote ? Un dieu. C'est un dieu qui se tient devant moi. Perturbée je répondis le regard vide :

« J'aimerai tellement pouvoir te raconter mes souvenirs. Enfin mes vrai souvenirs, parce que j'ai l'intime conviction que mes souvenirs ne sont que mensonges. On me cache la vérité, mais je ne sais pas pourquoi. Quand cette justice ou cette redevabilité envers le monde je ne me l'explique pas, mais... »

J'hésita avant de continuer. Je n'êtais pas du tout sur de ce que j'allais dire ni même si j'avais le droit de dévoiler quoi que se soit mais bon, j'avais une tel confiance que je poursuivis comme même :

«Je pense que dans mon vrai passé j'ai vu tellement de gens souffrir que je me sens redevable et je veux redonner le sourire parce que ce monde ne peux pas émettre que de la haine et de la peur. Non, Il faut de la gaieté, de la joie, de la bonne humeur, et du rire pour éviter de sombrer dans le désespoir. Et je veux aider à ce que le monde soit meilleur...»


Un flash brutale se fit devant mes yeux. Une femme ensanglantée s'était écroulée au sol. Une petite fille qui me ressembler étrangement courru vers elle. La femme vomissait du sang. La fillette tournait la tête dans tout les sens. Des cadavres brulées ensanglantées l'entouraient. Aucune personne vivante au alentour mise à part... le garçon aux cheveux noirs. La petite fille ou plutôt moi enfant crié son nom et je le hélais pour qu'il viennent m'aider à sauver la femme mourante. Les hoquets ensanglantés de la femme me fit tourner la tête. Elle expira. J'allais commencer à pleurer quand Ultionys me pris l'épaule : « Ils sont morts. » Je me réveilla en sursaut. Je pleurais toute les larmes de mon corps et Ultionys me regardait inquiet.


    
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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyDim 7 Juin - 15:15







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Ultionys écouta attentivement la réponse de Dérianna. Elle allait peut-être expliquer l'étrange sensation qu'il ressentait. Il lui semblait qu'elle était une des rares personnes que le dieu ne pouvait cerner ou réellement influencer.

"J'aimerai tellement pouvoir te raconter mes souvenirs. Enfin mes vrai souvenirs, parce que j'ai l'intime conviction que mes souvenirs ne sont que mensonges. On me cache la vérité, mais je ne sais pas pourquoi. Quand cette justice ou cette redevabilité envers le monde je ne me l'explique pas, mais..."

Des souvenirs mensongers ? Le dieu de la vengeance aperçut le regard vide de l'esprit stellaire. Il semblait qu'elle avait compris quelque chose, ou alors qu'elle se questionnait, voire les deux. Quelqu'un avait donc voulu cacher son passer. Et comment éprouver un désir de vengeance sans connaître ce qu'on a vécu ou son passé ? Cela était un élément de réponse pour le dieu.

"Je pense que dans mon vrai passé j'ai vu tellement de gens souffrir que je me sens redevable et je veux redonner le sourire parce que ce monde ne peux pas émettre que de la haine et de la peur. Non, Il faut de la gaieté, de la joie, de la bonne humeur, et du rire pour éviter de sombrer dans le désespoir. Et je veux aider à ce que le monde soit meilleur..."

Ultionys détourna un instant le regard pour retourner voir le ciel. Elle se sentait redevable ? Parce que d'autres gens avaient souffert ? Le dieu trouvait cela très étrange et stupide, même. Justement, voir des gens souffrir devrait donner une rage, une colère envers ceux qui en sont responsables ! En vers la société ! Pourquoi au contraire vouloir répandre la gaieté alors que tant des gens souffrent et ne sont pas vengés, dans une injustice totale ? Autant s'en prendre aux responsable plutôt que d'agir aussi stupidement !
Le dieu se sentit plutôt en colère. En fait, elle n'avait pas du tout la même conception que lui de... tout. La notion de volonté de justice par la vengeance semblait lui être totalement inconnue. De plus, elle ne connaissait pas son passé et voulait uniquement rendre le monde plus "gai". Elle comptait soulager les gens non pas en leur donnant leur revanche mais en prônant le bonheur. Comment rendre des gens non-vengés et frustrés heureux ?
Les nuages semblaient maintenant des tourbillons célestes. Tout semblait différent. Le bruit des voitures avait comme gagné en puissance et pourtant avait l'air changé. L'air apparaissait remplacé par un autre, qu'Ultionys avait du mal à respirer.
Le dieu reprit ses esprits, et c'est là qu'il vit la fille en larme. Elle semblait abasourdie. Qu'est-ce qui lui avait prit ? Ultionys sentit sa colère monter d'un cran. Il la regarda d'un air sévère.

"Tu es idiote. Tu crois que les gens tristes peuvent rire et connaître le bonheur aussi simplement ? Si tu les a vu malheureux, c'est qu'on leur a fait du mal. Le seul moyen de les apaiser, c'est de les venger. Tu dois te rebeller. L'amour et la joie ne sert à rien sans justice. De toute manière mes paroles ne serviront à rien, tu connais rien. Si tu pleures, c'est que quelque chose ne va pas et est enfouit en toi. C'est ton passé qui semble te tourmenter, je pense que tu va le revivre. Oui, tu revis un passé triste et horrible par bribes, jusqu'à qu'au moment où tu le comprendras totalement. Là tu seras encore plus triste, car tu sauras ce qui t'es arrivé. En attendant, tu ne pourras jamais comprendre ma façon de voir les choses. Tant que tu n'auras pas réalisé le mal qu'on t'as fait, tu ne comprendras jamais ce qu'est la vengeance. Il faut que tu aies finit de connaître ton passé avant de vraiment souffrir. Là, tu pourras te rebeller, et on se reverra."

Le dieu se retourna et partit vers le périphérique. Cette fille semblait perdue et elle s'était déjà engagé dans la longue route de la découverte de son passé. Avec lui, elle connaîtra la douleur et ainsi la colère et l'injustice. Il en était persuadé. Là, il pourra l'aider à se venger de sa vie passée. Pour le moment, elle lui semblait naïve et irresponsable. Il ne voulait pas l'aider. Cependant, elle avait aussi l'air étrange, tellement innocente qu'il avait - sans se l'avouer - envie de la connaître un peu plus. Mais il continua quand même son chemin, ne voulant pas écouter sa curiosité et la petite émotion qui naissait en lui.







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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyMar 9 Juin - 15:17

   

   
Un, deux, trois Ce sera à toi !
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Je me réveilla en sursaut. Je pleurais toute les larmes de mon corps et Ultionys me regardait inquiet. Je le regardais dans les yeux pour rechercher du réconfort mais je n'y trouvais que colère et agacement. Il me regarda sévèrement et me dit :

« Tu es idiote. Tu crois que les gens tristes peuvent rire et connaître le bonheur aussi simplement ? Si tu les a vu malheureux, c'est qu'on leur a fait du mal. Le seul moyen de les apaiser, c'est de les venger. Tu dois te rebeller. L'amour et la joie ne sert à rien sans justice. De toute manière mes paroles ne serviront à rien, tu connais rien. Si tu pleures, c'est que quelque chose ne va pas et est enfouit en toi. C'est ton passé qui semble te tourmenter, je pense que tu va le revivre. Oui, tu revis un passé triste et horrible par bribes, jusqu'à qu'au moment où tu le comprendras totalement. Là tu seras encore plus triste, car tu sauras ce qui t'es arrivé. En attendant, tu ne pourras jamais comprendre ma façon de voir les choses. Tant que tu n'auras pas réalisé le mal qu'on t'as fait, tu ne comprendras jamais ce qu'est la vengeance. Il faut que tu aies finit de connaître ton passé avant de vraiment souffrir. Là, tu pourras te rebeller, et on se reverra. »

Et Ultionys me tourna le dos en partant vers le périphérique, me laissant là, abasourdie. Suis-je si idiote de penser que le rire n'apporte pas le bonheur. Et pourquoi ne puis-je pas comprendre ça façon de penser ? La vengeance n'engendre au finale que la haine. Si quelqu'un te fait du mal, et que tu te venge, la personne à qui tu as fait mal en retour voudras se venger également ce qui peut paraître légitime. Au finale la vengeance ne procure que haine et tristesse, mais il est vrai qu'il n'est pas dans la nature humaine de rester impassible face au malheur créer par autrui. Comment réellement aider le monde ? En les faisant rire ? Ou bien en les aidant à se venger ? La deuxième solution est certe plus gratifiante, mais la première aidera à moins perpétuer le malheur. Que faire ? Mais que faire ? Toute ses questions se posèrent si vite dans ma tête que j'eus le temps d'essuyer mes larmes et de le rattraper. Je lui attrappais l'épaule pour qu'il se retourne et je dis :

« Si tu me trouve si idiote que ça tu pourrais m'aider. M'aider à comprendre ton point de vu. Et puis si tu t'y connais en « passé » égaré, je veux que tu m'aide également sur ce point. Je sais je t'en demande peut être beaucoup, mais j'ai le sentiment de t'avoir connu un jour quantd j'étais humaine, peut être est-ce seulement une impression mais je voudrais en savoir plus. Désolé une nouvelle fois si je t’importune, je t'ai vu très agacer par ma faute et je m'en excuse. »

Je baissai la tête en signe de respect en attendant sa réponse. Je suis peut être une imbécile à ses yeux mais je suis tout à fait capable d'apprendre. Je relever la tête en souriant. Je n'arrivais pas distingué son émotion sur son visage. C'était assez troublant et frustrant. Je ne pouvais entre voir se à il penser.


   
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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyVen 3 Juil - 18:25







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[HRP: Désolé mille fois du retard x_x]

Le dieu de la vengeance était déjà en train de partir lorsque la fille l'attrapa par l'épaule. Ultionys ne se retourna pas mais l'écouta simplement.

"Si tu me trouve si idiote que ça tu pourrais m'aider. M'aider à comprendre ton point de vu. Et puis si tu t'y connais en « passé » égaré, je veux que tu m'aide également sur ce point. Je sais je t'en demande peut être beaucoup, mais j'ai le sentiment de t'avoir connu un jour quantd j'étais humaine, peut être est-ce seulement une impression mais je voudrais en savoir plus. Désolé une nouvelle fois si je t’importune, je t'ai vu très agacer par ma faute et je m'en excuse."

Se retournant, le dieu affichait un visage d'un air imperceptible. Il aimait les gens surprenants, ou du moins qui osaient. Ceux qui veulent se sortir de l'ignorance et apprendre... Il sourit légèrement, se disant qu'il pouvait lui enseigne quelques trucs et... peut-être même l'aider à en savoir un peu plus sur son passé, puisqu'il semblait qu'elle l'avait vue dans sa vie. Un peu...

"Bien, bon. Si tu veux en savoir plus sur la vengeance, tu as sonné à la bonne porte. Cependant, il y a un problème... Comme je te l'ai dit, je ne vois aucun travail de justice à faire chez toi. Je ne sens aucun injustice, aucune dette, rien. Tu es comme neutre de toute histoire de vengeance... Mais, je pense que cela vient du fait que tu ignores ton passé."

Ultionys tapota l'épaule de Dérianna, sans vraiment savoir pourquoi. Cela le mit un peu mal à l'aise, alors il sortit son stylo-plume de sa chemise pour noter quelques éléments sur un bout de papier provenant de sa poche. Passé -> souvenir -> justice. Cela n'avait absolument aucune utilité, mais il devait faire cela pour sortir de son embarras. C'est alors qu'il reprit là où il s'était un peu interrompu.

"Si j'apparais dans ton passé, je pourrais peut-être t'aider. Et si je suis apparu, ça veut dire que j'ai du rétablir la justice dans ton entourage, et c'est bon signe. Je pense qu'en retrouvant la mémoire, tu sauras qui te dois quoi, et à qui tu dois quoi. Peut-être seras-tu alors soulagée... Raconte-moi ce que je t'évoque dans mon passé, ou n'importe quoi qui pourrait nous y conduire."







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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptySam 4 Juil - 10:29

   

   
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Feat: Ultionys

   

[HRP : C'est pas grave Asuka elle mets deux mois pour répondre]


«Si tu me trouve si idiote que ça tu pourrais m'aider. M'aider à comprendre ton point de vu. Et puis si tu t'y connais en « passé » égaré, je veux que tu m'aide également sur ce point. Je sais je t'en demande peut être beaucoup, mais j'ai le sentiment de t'avoir connu un jour quantd j'étais humaine, peut être est-ce seulement une impression mais je voudrais en savoir plus. Désolé une nouvelle fois si je t’importune, je t'ai vu très agacer par ma faute et je m'en excuse.»

Quelle idiote ! Pourquoi insistais-je ? Avec mes histoires de passé je l'importune. Je ne devrais pas. Et puis si mon passé est caché, c'est qu'il y a une raison. Le dieu se retourna. D'abord impassible, après quelques seconds il esquissa un sourire qui disparut presque aussitôt. Je n'attendis pas longtemps pour qu'il me réponde :

« Bien, bon. Si tu veux en savoir plus sur la vengeance, tu as sonné à la bonne porte. Cependant, il y a un problème... Comme je te l'ai dit, je ne vois aucun travail de justice à faire chez toi. Je ne sens aucune injustice, aucune dette, rien. Tu es comme neutre de toute histoire de vengeance... Mais, je pense que cela vient du fait que tu ignores ton passé. Ultionys me tapota l'épaule. Surprise je le ragardait, gênée et je tournais la tête. Il fit de même pour les mêmes raisons. Pour se sortir de sa gène, enfin je pense que c'était pour ça, il sortit un bloc-note et il griffonat dessus quelques mots. Je l'observais. À quoi pouvait-il bien penser ? Son expression me donnait aucun indice ce qui me perturbat grandement. Ultionys reprit là où il en était :

« Si j'apparais dans ton passé, je pourrais peut-être t'aider. Et si je suis apparu, ça veut dire que j'ai du rétablir la justice dans ton entourage, et c'est bon signe. Je pense qu'en retrouvant la mémoire, tu sauras qui te dois quoi, et à qui tu dois quoi. Peut-être seras-tu alors soulagée... Raconte-moi ce que je t'évoque dans mon passé, ou n'importe quoi qui pourrait nous y conduire.»

Mon passé... Les seuls fraguements qui me sont revenus, sont flous et ambiguë de plus je ne suis pas sure de tout comprendre. Mais je me décida comme même à lui en faire par :

« Ce dont je me rappelle ce sont des flammes des gens qui brûle qui souffre. C'était dans un village, je pense que j'y vivais. Je me rappelle aussi de la douleur que cela m'a causé. Et toi, tu étais à côté de moi alors que je pleurais et tu me disais que c'était fini, et que cela ne valait pas la peine de... »

Qu-est-ce qui ne valait plus la peine ? J'essayais de me rappeler mais en vain. Je forçais la porte de mon esprit. Mais je n'y arrivais pas. Que faire... C'était seulement un mot. Un seul mot. Une larme coula sur ma joue sans que je comprenne pourquoi. Mais c'était ça. Pleurer. Il valait plus la peine de pleurer. Je repris :

« De pleurer. Puis je ne me rappelle de rien. Je ne sais si c'est suffisant. Mais c'est tout. »

   
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Ultionys
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[HRP: Maintenant j'en suis pas loin... SUMIMASEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN !!!!]

Le dieu écouta attentivement les éléments cruciaux dont Dérianna lui faisait part. Peu importe, même si elle ne se rappelait que d'un chat qui buvait du lait, cela l'aiderait peut-être ! Il entendit ses histoires de flammes, de souffrances, de toutes ces personnes qui criaient... Un incendie ? Une sanction ? Pourquoi un esprit était-il parmi eux ?
Ultionys s'arrêta lorsqu'elle évoqua ce qu'il lui avait dit... C'était cela qui l'aiderait certainement le plus. La jeune fille reprit après une pause, pendant laquelle une larme avait coulé sur son visage :

"De pleurer. Puis je ne me rappelle de rien. Je ne sais si c'est suffisant. Mais c'est tout."

Lui, le dieu de la vengeance qui lui soufflait que ce n'était pas la peine de pleurer ? Étrange... Alors il voulait la protéger... Pourtant il était persuadé de ne jamais l'avoir vue, ou même parlé. Mais il se dit que cette fille était un esprit... Son enveloppe corporelle n'est sans doute pas aussi âgé que cet esprit ? Le Dieu de la Vengeance n'était pas vraiment passionné par les esprits et tout ça... Il lança tout de même sa théorie :

"Si tu n'as pas brûlé et que je t'ai réconfortée, c'est certainement que tu ne devais pas être là, être épargnée... Si c'est moi qui t'ai protégée, en te disant qu'il ne fallait pas pleurer, c'est sûrement parce que le sort était mérité mais que tu n'étais pas concernée. Quoi qu'il en soit, je devais m'occuper de toi, tu devais déjà avoir une raison d'être importante, je pense que tu n'étais pas encore un esprit, pour être franc je ne sais pas vraiment... Mais nous nous sommes déjà croisés. Si je te retrouve, ce n'est pas par hasard. Nous devons accomplir quelque chose ensemble, peut-être retrouver ton passé ou quelque chose de bien plus grand et complexe. Quoi qu'il en soit, j'accepte cette mission car j'ai envie de t'aider. Et si tu es prête, nous nous reverrons."

Le dieu se changea en corbeau et s'arracha une plume du bec. Il la donna à Dérianna.

"Si tu as de nouvelles pistes, trempe cette plume dans de l'encre et écris ton message. Je le lirais et je viendrais te voir si c'est nécessaire. Es-tu prête à ce que l'on fasse le chemin ensemble ? As-tu quelque chose à ajouter ?"

Il se demandait ce que lui répondrait cette fille. Il avait tout de même sa petite idée. Une idée qui, si elle s'avérait vraie, lui en donnerait plein d'autres. Oui, il se sentait déjà très inspiré pour savoir que faire, et comment se servir de ses idées. De ses multiples idées. Il adorait soudain ce mot, idées ! Idées !!







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MessageSujet: Re: Un, deux, trois, ce sera toi ! Un, deux, trois, ce sera toi ! EmptyMer 16 Sep - 14:47

   

   
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« Ce dont je me rappelle ce sont des flammes des gens qui brûle qui souffre. C'était dans un village, je pense que j'y vivais. Je me rappelle aussi de la douleur que cela m'a causé. Et toi, tu étais à côté de moi alors que je pleurais et tu me disais que c'était fini, et que cela ne valait pas la peine de... De pleurer. Puis je ne me rappelle de rien. Je ne sais si c'est suffisant. Mais c'est tout. »


Je le regardais dans les yeux. Que pensait-il ? Mon histoire est idiote. C'est juste un cauchemar. De plus j'attendais de lui une réponse. Mais il n'y a pas de réponse à un simple cauchemar. J'attendis comme même. Mais à quoi bon attendre. Il n'y en tout bonnement pas, enfin je pense. Ultionys avait le regard dans le vague quand il me répondit :

« Si tu n'as pas brûlé et que je t'ai réconfortée, c'est certainement que tu ne devais pas être là, être épargnée... Si c'est moi qui t'ai protégée, en te disant qu'il ne fallait pas pleurer, c'est sûrement parce que le sort était mérité mais que tu n'étais pas concernée. Quoi qu'il en soit, je devais m'occuper de toi, tu devais déjà avoir une raison d'être importante, je pense que tu n'étais pas encore un esprit, pour être franc je ne sais pas vraiment... Mais nous nous sommes déjà croisés. Si je te retrouve, ce n'est pas par hasard. Nous devons accomplir quelque chose ensemble, peut-être retrouver ton passé ou quelque chose de bien plus grand et complexe. Quoi qu'il en soit, j'accepte cette mission car j'ai envie de t'aider. Et si tu es prête, nous nous reverrons. »


Et puis, d'un coup le dieu se changea en corbeau noir comme l’ébène. Je sursautai vivement. Il reprit sa forme humaine. Il avait une plume entre les doigts. Sûrement l'une des siennes. Je regardais fixement sa main. Il me tendit la plume et il continua :

« Si tu as de nouvelles pistes, trempe cette plume dans de l'encre et écris ton message. Je le lirais et je viendrais te voir si c'est nécessaire. Es-tu prête à ce que l'on fasse le chemin ensemble ? As-tu quelque chose à ajouter ? »


Je ne sais pas. Ou plus je n'en sais rien. Pourquoi pas ? Que répondre ? J'hésitais et cela se voyait sûrement beaucoup. Je me repris en main et m’exclamai avec plus d'assurance qu'aux part avant  :

« Oui ! Enfin oui je veux bien je n'ai rien d'autre à ajouter enfin je crois. »


Je ne suis pas du tout certaine de moi mais cette réponse me satisfaisait comme même. Je le regardais dans les yeux. Je m'interrogeais. Qu'allait-il faire ? Partir comme il y a un instant. Je pense bien mais c'est à voir.



   
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