Les dieux grecs ont été déchus et réduits à l'etat de mortels par leurs descendants divins, ignorés de tous. Ils ont pris leurs places et créé la Nouvelle Olympe!
 
Nous avons fortement besoin de nouveaux dieux ayant des fonctions importantes! (Ciel, Nuit, Amour etc...)
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" Anne "Héra" Hooper "
Anne
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Quand un comte voie le passé revenir

MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyDim 28 Déc - 22:00
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Ita Diis Placuit !


Anne ne réagit même pas aux paroles naïves de la fillette, en même temps, elle connaissait suffisamment Robine pour savoir que la jeune fille voyait un ami dans chaque nouvelle rencontre, il n'était pas étonnant qu'elle considéra Rhadamanthe comme tel. La directrice aurait néanmoins espéré que sa fille fasse preuve d'un peu plus de jugeote et d’indignation. Cet homme, ce juge infernal ne méritait certainement pas l'amitié illusoire de la jeune fille. Était-ce cette vieille rancœur qu'elle entretenait à l'égard des enfant illégitimes de Zeus qui ne faisait qu’alimenter sa colère ou bien était-elle réellement en colère contre Rhadamanthe en personne, sans tenir compte de ses origines. Pour le coup elle ne pouvait pas vraiment trancher, sa rage brouillant toutes les pensées rationelles qui auraient pu traverser son esprit. Elle ne semblait plus qu'écouter son instinct, instinct qui lui fit avoir un geste protecteur vers Robine quand le « comte » protesta.

-Si vous pouviez me tuer je serait mort, si je voulais vous tuer vous le seriez. Vous ne me comprenez pas, même si cela vous ennuis je vais devoir remettre les choses au clair me concernant. De mon vivant je fut le plus juste possible avec mes sujets, mais mes sentiment et émotions me firent trop souvent à mon goûts faire des erreurs. Quand Zeus me nommât Juge infernal il fit disparaître en moi ce qui pouvait altérer mon jugement, ainsi je devins l'instrument de justice parfait, pas de sentiment ni d'état d’âmes pour les un et les autre, je rendait la justice en fonction des acte passer et de leur conséquence actuel.

Anne allait ouvrir la bouche pour lui répliquer que si elle avait envie, la tout de suite maintenant, elle pouvait se transformer en Ours et déchirer la poitrine de ce doux baratineur avec la même efficacité que si elle lui avait tiré dessus avec une arme. Néanmoins il fit glisser son portable sur la table, avant de reprendre la suite de son discours. Héra n'hésita pas avant de s'en emparer, de le lâcher parterre et de l'écraser avec son talon. Autant éliminer la menace immédiatement, peut-importe si les regard déjà insistant des autres clients ne faisaient que s'accentuer.

-Quand la chute des Dieux eu lieu et que fut comme vous réduit à l'état de mortel je restait le même, un être juste mais incapable de ressentir quoi que se soit envers lui même ou envers les autres. Et que deviens un outils sans travaille? Il meure à petit feu. Puis une question germât dans mon esprit, qu'allait devenirs les mort si personne ne les jugeaient, et c'est alors qu'une et une seule émotions me revint. la Haine, profonde et horrible, celle qui vous dévore et vous transforme en machine de mort. La haine que je ressentait envers les Traîtres fut la seule chose qui me teint compagnie pendants des siècle. Alors vous qui pouvez ressentir, aimez, rire, détester, pleurer et sourire. Vous qui vous inquiétez pour ceux qui vous sont chère et qui ne prenez pas le temps de connaître avant de jugez vous osez me traité de monstre et me comparer aux traîtres. NON! Quelle est votre avis sur le sort à donner au nouveau dieux ma reine?

Héra sentait son ventre se tordre au fur et à mesure que le ton augmentait. Elle voulait enfoncer ses ongles dans le visage du comte en même temps que celui enchaînait les mots venimeux de son pitoyable discours mais, elle se ressaisit, tentant de calmer ses furieuses ardeurs. Soupirant une fois, elle leva les yeux vers lui avant de rigoler froidement. C'était un rire froid, cinglant, terrible. Elle se moquait de lui, ouvertement. Un sourire méchant barrait son visage, cela faisait longtemps qu'elle n'avait plus joué ouvertement le rôle de la méchante et dans un sens ça lui manquait. Ainsi, elle regardait Radamanthe avec un regard sadique, presque enjoué.

-Et qu'est-ce que tu veux que ça me fasse. Qui crois-tu amadouer avec cette histoire ? Tu veux que je te plaigne ? Ô pauvre petit chou qui a tout perdu et qui est continuellement tourmenté, comme si tu savais à quel point j'ai pitié de toi … En fait tu sais quoi ? Je m'en fiche royalement, tu peux bien avoir été torturé pendant des siècles à cause d'une méprise que je m'en ficherais tout autant !  Et puis que tu tiens tant à connaître la réponse mon pauvre petit, je vais te répondre. Je HAIS les nouveaux dieux, mais ça n'est une nouvelle pour personne, aussi le pire châtiment possible sera pour le mieux. Cela fait donc un très gros point commun entre vous, d'où la comparaison... Aussi, puisque je n'ai pas eut le temps de placer un mot entre tes deux tirades, sache que mes menaces ne sont jamais jetées en l'air ! D'ailleurs, je ne crois pas que tu aie encore un moyen de pression sur moi, alors, réfléchit bien à tes prochain mots.


[HS: J'espère que ça vous va à tous les deux ! Je tiens à préciser que ce que dit et pense Héra n'est absolument pas ce que je pense moi entant de personne IRL. ^^]



Nil Sine Numini


© Halloween


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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyLun 29 Déc - 21:05
Le comte était enfin parvenus à ses fin, il ne regarda même pas Héra quand elle lui répondit, se fendant d'un large sourire et lui déclamant ses mots plein de poison.

-Et qu'est-ce que tu veux que ça me fasse. Qui crois-tu amadouer avec cette histoire ? Tu veux que je te plaigne ? Ô pauvre petit chou qui a tout perdu et qui est continuellement tourmenté, comme si tu savais à quel point j'ai pitié de toi … En fait tu sais quoi ? Je m'en fiche royalement, tu peux bien avoir été torturé pendant des siècles à cause d'une méprise que je m'en ficherais tout autant !  Et puis que tu tiens tant à connaître la réponse mon pauvre petit, je vais te répondre. Je HAIS les nouveaux dieux, mais ça n'est une nouvelle pour personne, aussi le pire châtiment possible sera pour le mieux. Cela fait donc un très gros point commun entre vous, d'où la comparaison... Aussi, puisque je n'ai pas eut le temps de placer un mot entre tes deux tirades, sache que mes menaces ne sont jamais jetées en l'air ! D'ailleurs, je ne crois pas que tu aie encore un moyen de pression sur moi, alors, réfléchit bien à tes prochain mots.

Il se levât lentement et tournant le dos à la reine aussi froide que son discoure, il fit un simple signe de la main et tout les clients ainsi le personnelle du restaurant se levèrent et mirent en joue celle ci avec les arme qui venait d’apparaître entre leur mains. Rhadamanthe regardât alors Robine dans les yeux.

-Voyez vous très chère contrairement à votre mère je ne suis jamais désarmé. Vous voyez maintenant qui elle est.

Il marquât un pause, puis reprit.

-Une femme aigrit qui ne peut pas portez un jugement rationnelle sur le monde et qui pense que se cachez sous la façade d'une directrice qui aide de pauvres orphelins lui permettra de lavez son âmes de tous ses méfaits. Pourtant quand elle ne contrôle plus la situation elle redeviens celle qui la fait connaitre, une Femme brutale et froide près à tuez l'innocence même pour un simple caprice. Alors je vous le demande, voulez vous ralliez un traître qui fait sourire des millions d'âmes ou une déesse déchu qui ferait assassinez des enfants si cela servait ses intérêt.

-Tu peut aussi choisir de ne pas faire ce choix douloureux et me rejoindre, pour que justice sois rendu pour tous sur la terre comme en enfer et tous est ce qu'ils mérites, des champs Elysée au Tartare, le bon sera récompensé et le criminelle châtier justement afin que plus jamais un être ne subisse l’horreur d'une injustice.


tout en parlant sa corde avait récupéré son verre et à la fin de son discoure il but une gorgé et fit une révérence devant Robine et fit signe à ses Hommes de mains qui se mire en positions de tir.

-Héra ne m'obliger pas à faire usage de la force alors pas de geste inconsidérée d’accore.
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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyMar 30 Déc - 12:30





Quand un comte voit le passé revenir
Feat trop de gens



Plumia, Héra et Rhadamanthe, ou comment foutre le bordel dans une journée ordinaire au Mont Olympe.

BOUM.

Comme un septième sens – parce que oui, le sixième était déjà acquis, pour le dieu –, quelque chose fit ‘tilt’ – enfin, un peu plus que ‘tilt’ – dans l’esprit divin et très très très sensible de Zéphios. Il se releva d’un coup, soulevant une gerbe d’eau et faisait crier les naïades qui s’enfuirent en se couvrant les yeux, rougissant furieusement.
Stop.
Oui, oui, détaillons de plus près le magnifique corps de ce cher dieu, qui n’était en effet pas très vêtu – en fait, pas du tout – et qui était en train de se détendre dans son bain extérieur – malgré tout, l’eau était à une température très agréable – pendant que les naïades allaient l’épier – on ne sait pas trop pourquoi. En fait non, abandonnons l’idée de regarder en détail – et sans baver – Zéphios pour s’attarder sur ce qu’il venait de déclarer.

« Plumia. »

Son visage était figé par l’inquiétude, et son regard fixe, cherchant sa fille à l’aide de ses sens divins, il était debout, l’eau lui arrivant au milieu des mollets. Derrière les arbres qui entouraient le bassin, on entendait glousser. Brusquement, Zéphios sauta hors de l’eau, glissa sur le marbre, se rattrapa in extremis grâce à un vent et couru jusqu’à sa chambre, qui se situait à quelques mètres de sa baignoire d’extérieure – un jacuzzi, quoi.

Ne prenant pas le temps de s’habiller correctement, il eut quand même la décence de claquer des doigts pour faire apparaître sur son corps un t-shirt, un pantalon et des chaussures. Puis, toujours aussi rapidement, il s’expédia sans plus tarder dans le monde des mortels, où sa chère fille semblait courir un grave danger. Il arriva directement à la Place Vendome, une partie de Paris qu’il ne connaissait pas très bien. Mais qu’importe ? La source de ses inquiétudes était juste sous ses yeux, quelques mètres plus bas. Immédiatement, il sentit plusieurs auras. Déjà Héra, qu’il sentait prier. Le prier, lui, Zéphios, un de ses pires ennemis ? Nooon. Impossible. Puis son attention se porta sur un fils de Zeus. A ce que le dieu sentait, le mec en bas était le Juge des Enfers.

Zéphios ne comprenait pas ce qu’il se passait, mais fut légèrement éclairé en tournant un peu la tête. Là, sur sa gauche, était positionné un… tireur, snipeur, bref, un homme avec un pistolet – fusil, ou il ne savait trop quoi – dans les mains. Le dieu remarqua un laser d’une couleur rouge très voyant sortir du viseur de l’arme et pointer directement… sur sa fille. Sa chère et tendre fille.

La première réaction, celle qui mit fin à la vie de l’homme à ses côté – qui ne pouvait le voir, car Zéphios n’avait pas utilisé d’enveloppe charnelle, et était plutôt sous forme de vent, là – fut de le décapiter, pas très proprement mais au moins, il était mort. Le dieu, la fureur grondant dans ses yeux – qu’on ne pouvait voir, mais c’était plutôt une expression, ici –, fixait le corps de l’homme, éraflé de toutes parts par des vents violents et dangereux.

Et à Paris, le temps était similaire aux émotions qu’éprouvaient Zéphios en ce moment. Le vent soufflait plus fort, de grandes bourrasques faisant envoler les chapeaux des passants. Le ciel avait été, d’un coup, envahi par des nuages gris. Il n’allait pas pleuvoir, non, ce n’était pas trop son truc, au dieu du Vent. L’air devenu incontrôlable allait fouetter le visage des mortels, il allait peut-être même provoquer des débordements, côté Seine. Mais Zéphios s’en fichait admirablement, se créant un corps d’humain, qui ressemblait beaucoup à son allure divine. Ensuite, il sauta promptement du toit où il était et atterri en douceur sur le sol parisien, déclenchant  pourtant une mini-tempête.

Sans se soucier des regards, il avait déjà attrapé le Comte par la gorge d’une main. De l’autre, il avait commandé aux vents d’aller attraper les hommes perchés qui restaient.

« Toi, gronda Zéphios, toi, si tu menaces encore une seule fois ma fille, je fais de ta vie un enfer. »

Il jeta un coup d’œil rapide au téléphone que l’homme avait dans sa main.

« Et ne t’avise même pas de demander à tes chiens de tirer. » Il eut un sourire presque amusé. « En fait, ils ne pourront même pas, regarde ! »

L’étranglant toujours à moitié, Zéphios tourna Rhadamanthe pour qu’il admire le spectacle de ses hommes de main tournoyant dans les airs, à quelques mètres du sol. Le crâne de l’un deux frôla même le sol alors qu’un sourire cruel étirait les lèvres du dieu. Celui-ci tremblait légèrement, non pas de peur, mais de rage, de fureur contenue. Il savait, malgré la brume dans son esprit, que s’il laissait sa colère s’échapper, les mortels présents mourraient.





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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyJeu 1 Jan - 19:28
le premiers indice qui indiqua au comte que quelque chose clochait étais la disparition soudaine du laser de son tireur, puis en un instant se fut comme si une tempête avait éclater dans le restaurant, et il n'étais pas lion du compte quand il sentit l’aura écœurante et dégoulinante de traîtrise de son demi frère, Zéphios; Celui ci déchaînât ses vent et les homme du comte se retrouvèrent à flotter dans les airs. tout en l'étranglant d'une main il lui fit savoir la raison de sa présence.

- "Toi," gronda Zéphios, "toi, si tu menaces encore une seule fois ma fille, je fais de ta vie un enfer.Et ne t’avise même pas de demander à tes chiens de tirer...  
En fait, ils ne pourront même pas, regarde!"


Sous le regard vide du comte ses homme de main tourneboulait en l'air telle des jouets désarticulés.
La présence de son pire ennemi laissât un instant Rhadamanthe sur le point d'exploser de rage mais sa capacité de jugement fut la plus forte et il analysa rapidement la situation. Sous sa forme humaine le corps de Zéphios avait les même faiblesse que le sien, ce qui laissait une chance à Rhadamanthe de s'en tirer. Les corde dissimuler dans le restaurant virent s'enroulé sur le bras de zéphios et commencèrent à appuyer sur les point de pression de celui ci, relâchant le coup du comte qui commençait à suffoquer. Malheureusement il sentit que c'était la seule chose qu'il pouvait faire pour l'instant et il ne lui restait plus beaucoup de cartes à jouer pour espérer sortir plus ou moins vivant de cette situation.

-"Zéphios comment ose tu te présenter devant moi" fulminait Rhadamanthe "et me menacer après ce que tu à fait, disparaît d'ici, tu à causer bien assez de mal comme ça!"

Puis ce que le comte redoutait arrivât, un des homme tentât de faire feu mais dans la panique son arme se dirigeât vers Robine, le coup partait alors que le comte et ses cordes s’élançait vers Robine, il fit volte-face et sentit une cuisante douleurs à l'épaule gauche, l'amas de corde n'ayant pas suffit à stopper le projectile. le monde semblant alors ralentir, le bruit du sang perlant de la blessure fit l’effet d'un gong dans le tête de Rhadamanthe, de son bras droit il attrapa un couteaux et le lança dans la gorge de celui qui avait tiré.

"-Justice est faite."

Se retournât face au trois autre ils ne put contenir un glapissement de douleur, après tout une balle est une balle. il restât la à les fixé tour à tour, pour une fois son esprit n'arrivait pas à tranché sur l'action à faire et il se contentât de ramener à lui les cordes disperser par le tir et de les utiliser pour s'appuyer pour ne pas défaillir.

-"Quel est ton choix Robine?"

Parvint il à articuler avant de cracher une gerbe de sang sur le sol de la salle.
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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptySam 3 Jan - 14:55
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Quand un comte voie le passé revenir

Feat comte Rhadamanthe


Je n'avais pas ouvert la bouche, ils me faisaient peur, ils émanaient d'eux une force dangereuse. Ils me faisaient un peu.....peur. Puis le comte se retourna vers moi et tous les clients se levèrent en même temps armes en mains.  

-Voyez vous très chère contrairement à votre mère je ne suis jamais désarmé. Vous voyez maintenant qui elle est. J'étais prise au dépourvu, tout c’était tellement passé vite, Une femme aigrit qui ne peut pas portez un jugement rationnelle sur le monde et qui pense que se cachez sous la façade d'une directrice qui aide de pauvres orphelins lui permettra de lavez son âmes de tous ses méfaits. Pourtant quand elle ne contrôle plus la situation elle redeviens celle qui la fait connaître, une Femme brutale et froide près à tuez l'innocence même pour un simple caprice. Alors je vous le demande, voulez vous ralliez un traître qui fait sourire des millions d'âmes ou une déesse déchu qui ferait assassinez des enfants si cela servait ses intérêt.
Tu peut aussi choisir de ne pas faire ce choix douloureux et me rejoindre, pour que justice sois rendu pour tous sur la terre comme en enfer et tous est ce qu'ils mérites, des champs Élysée au Tartare, le bon sera récompensé et le criminelle châtier justement afin que plus jamais un être ne subisse l’horreur d'une injustice.

   
Il se retourna vers maman et dit:

-Héra ne m'obliger pas à faire usage de la force alors pas de geste inconsidérée d’accord.

Je voulais répliquer mais, je sentis au fond de moi quelque chose de familier, je relevais la tete et savais déjà que mon père était là avant même qu'il n'apparaisse a l'entré du café et prenne le comte par le col.

- Toi, gronda t-il, toi, si tu menaces encore une seule fois ma fille, je fais de ta vie un enfer.Et ne t’avise même pas de demander à tes chiens de tirer...  
En fait, ils ne pourront même pas, regarde!


Juste après avoir fini sa phrase, tous les tireurs se mirent à valser dans les airs. Le comte réussi a se libérer de l'emprise de Zephios et dit:

-Zephios comment ose tu te présenter devant moi et me menacer après ce que tu à fait, disparaît d'ici, tu à causer bien assez de mal comme ça!

Puis, un coup de feu retentit, et je vis le comte foncer sur moi, je compris que j'allais me prendre une balle et je ne pouvais rien faire pour l’éviter, je fermais les yeux. Quand je les rouvris, le comte avait l'épaule en sang, j'étais sous le choc.

-Quel est ton choix Robine?

Puis cracha du sang, je re-pris mes esprits, j'étais en colère, contre le comte mais aussi contre Anne et Zephios, de la violence, encore de la violence et toujours de la violence, c'est un cercle vicieux sans fin.

-Je ne choisirais personne, je vais tracer ma propre voie, ce n'est pas a vous de me classer, si je veux être pour les anciens ou les nouveaux dieux, et bien je serais pour les deux. Je ne favoriserais personne, ma mère et une ancienne déesse, mais ce n'est pas son rang qui va m’empêcher de l'aimer, mon père et un nouveau Dieu, et je veux quand même apprendre à le connaître. Je me retournais vers le comte, en colère, mais, je ne vous permet pas de dire ces choses horrible sur ma mère, vous, vous avez peu être cette image d'elle mais vous ne la connaissez pas, elle m'a élevé, nourri, a joué avec moi, consolé, je suis heureuse avec elle, donc si vous continuez à dire de tels propos la concernant devant moi, je n'esiterais pas à la venger par la violence.





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bon........ c'est pas top ^^'
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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyDim 4 Jan - 18:04
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Ita Diis Placuit !


Une vive terreur traversa le visage d'Anne lors que, d'un même mouvement, ces citadins qui étaient jusqu'à lors tranquilles, dégainèrent diverses armes à feu qu'ils pointèrent droit sur la mère et la fille. Elle aurait juré avoir senti son cœur cesser de battre pendant quelques secondes. Tout cela était tellement irréel. Rien de tout cela n'aurait dû se passer, c'était impossible, un cauchemars.

-Voyez vous très chère contrairement à votre mère je ne suis jamais désarmé. Vous voyez maintenant qui elle est.

Pour le coup, elle n'aurait pu contredire le comte. Héra se sentait faible et démunie tout comme le jour où les nouveaux dieux avaient attaqué, elle se trouvait dans l'incapacité de faire quoi que ce soit, inutile, elle ne pouvait même pas protéger ceux qu'elle aime. Elle s'enfonçait les ongles dans les paumes de ses mains, tant de contenir son désespoir dans la douleur physique. Elle avait échoué à protéger Robine, ce n'était pas une bonne mère. Voilà ce que se répétait mentalement Anne, ces mots faisaient écho dans une boucle infinie de rage et de désespoir qui ce cessait de croître, accusatrice.

-Une femme aigrit qui ne peut pas porter un jugement rationnel sur le monde et qui pense que se cacher sous la façade d'une directrice qui aide de pauvres orphelins lui permettra de laver son âme de tous ses méfaits.

Héra aurait pu protester sur ce point. Mais le pouvait-elle vraiment ? N'était-ce pas là la stricte vérité ? Elle savait que Rhadamanthe avait raison sur ce point et cela ne lui faisait que plus mal. Ses ongles s'enfoncèrent un peu plus dans sa peau, laissant perler une fine goutte de sang. Ce faisait mal, mais pas plus que les vérités du comte.

-Pourtant quand elle ne contrôle plus la situation elle redeviens celle qui la fait connaître, une Femme brutale et froide près à tuez l'innocence même pour un simple caprice. Alors je vous le demande, voulez vous ralliez un traître qui fait sourire des millions d'âmes ou une déesse déchu qui ferait assassinez des enfants si cela servait ses intérêt. Tu peut aussi choisir de ne pas faire ce choix douloureux et me rejoindre, pour que justice sois rendu pour tous sur la terre comme en enfer et tous est ce qu'ils mérites, des champs Élysée au Tartare, le bon sera récompensé et le criminelle châtier justement afin que plus jamais un être ne subisse l’horreur d'une injustice. Héra ne m'obliger pas à faire usage de la force alors pas de geste inconsidéré d’accord.

« Pas de geste inconsidéré » Elle en était arrivée au point où elle savait qu'elle avait perdu. Au moment où, elle allait admettre sa défaite. L'impensable survint. Une bourrasque, non un micro-ouragant déferla dans le restaurant. Le ciel pris une teinte d'orage qui fit battre son cœur un peu plus vite. Les respirations de la déesse se firent plus fortes, empreinte d'une euphorie nouvelle. Elle connaissait ce signe avant coureur de la puissance. Un seigneur du ciel était dans les parages, et il était, visible, très en colère, non sans raison, après tout, c'est sa fille que l'on menace.

Lors que Zephios jaillit enfin, empoignant Rhadamanthe par la gorge, Héra ne pu stopper un rire jubilatoire. Désormais, Robine était sauvée, le juge avait perdu, c'était fini, enfin. Elle aurait embrassé Zephios pour son intervention, certes quelque peu retardée, elle ne l'espérait plus. Les larmes lui montaient aux yeux, causées par toute l'émotion ressentie. Sa fille était enfin sauvée.

Les hommes de main du tyran tournoyaient dans tous les sens, paniqués, pathétiques. Héra trouvait que Zephios avait été trop miséricordieux, elle même les aurait privé d'oxygène pour les voir lentement agoniser. Elle voulait réduire en charpie cet imprudent juge. Elle se leva justement pour le retenir alors qu'il faisait mine de partir prête à lui montrer qu'on ne plaisantait pas avec elle, lorsque le pire arriva.

Du coin de l’œil elle aperçut, un des patins du comte qui levait son arme pour tirer sur … ROBINE ! Le coup de feu partit en même temps qu'Anne poussait un hurlement strident, la main tendue vers sa fille dans un geste inutile pour essayer de l'atteindre avant la balle.

Et si Anne ne l'atteint pas à temps, Rhdamanthe lui s'interposa. La directrice voulait rejoindre sa fille saine et sauve mais ses jambes refusaient de bouger, elle tremblait de tout son corps, les rares autres fois où la reine des dieux avait été tétanisé comme ça étaient du temps de son règne, la première fois fut lors de l'attaque de s géants, ensuite celle de Typhon et enfin lors de l'une des colères de Zeus. Aussi, elle se demandait comment elle faisait pour rester debout car elle sentait que ses genoux pouvaient la lâcher d'un moment à l'autre.

-Je ne choisirais personne !


Ces mots raisonnait douloureusement aux oreilles d'Héra qui les avait déjà entendu auparavant dans une situation à peu près semblable. Robine ne semblait pas comprendre qu'aussi louable soit cet idéal de paix, il restait impossible à réalisé. Jamais Héra ne pardonnera à Alania et à ses acolytes leur traîtrise. L'inverse devait être aussi vrai.

-Je vais tracer ma propre voie, ce n'est pas a vous de me classer, si je veux être pour les anciens ou les nouveaux dieux, et bien je serais pour les deux. Je ne favoriserais personne, ma mère et une ancienne déesse, mais ce n'est pas son rang qui va m’empêcher de l'aimer, mon père et un nouveau Dieu, et je veux quand même apprendre à le connaître mais, je ne vous permet pas de dire ces choses horrible sur ma mère, vous, vous avez peu être cette image d'elle mais vous ne la connaissez pas, elle m'a élevé, nourri, a joué avec moi, consolé, je suis heureuse avec elle, donc si vous continuez à dire de tels propos la concernant devant moi, je n’hésiterais pas à la venger par la violence.

Elle réussit finalement à fait un pas hésitant puis un autre avant  de s'élancer vers Robine, la serrant dans ses bras comme si, en la lâchant, elle allait la perdre pour toujours. Elles étaient visiblement passées à côté du pire, toute cette folie, Héra l'espérait, semblait finie. Ou presque. La reine déchue sentait monter en elle un goût de vengeance, goût qu'elle connaissait fort bien. Sous d'autre conditions cela l'aurait attristé, car vengeance allait de pair, il faut bien se l'avouer, avec cocu, cependant cette fois là était différente et Anne avait bien l'intention de faire payer à Rhadamathe le mal qu'il aurait pu faire. Ce n'était pas parce qu'il s'était, sous un élan de lucidité, interposé entre sa fille et la balle qu'elle allait lui pardonner.

Il les avait menacées et sans l'intervention sûrement tuées. Il voulait la justice ? Elle allait le juger, à sa manière, selon ses règles. La justice d'Héra plus que toutes les autres était implacable même si elle ne respectait pas toujours la partialité. Qu'il fasse le moindre faux mouvement, le moindre geste qu'elle pourrait mal interpréter …

Enfin, pour le moment elle s'était un peu reculée pour regarder Robine, vérifier si elle n'était pas blessée :

-Tu n'as rien ? Tu es sûre que tout va bien ? Vraiment ?

Peut-être devrait-elle remercier Zephios aussi mais ce serait avouer qu'elle était faible et avait besoin d'aide, Zephios était bien l'une des dernières personnes à qui Anne dirait cela. Aussi, elle préféra l'ignorer pour le moment bien qu'elle soit un peu rassurée par sa présence. Un frisson d'anxiété lui remonta tout de même le long de la nuque. Sans son rendre compte elle avait tourné le dos à son ennemi. Elle se retourna donc doucement, pour ne pas montrer une quelqu'un faiblesse, elle s'était déjà assez exposée comme ça, et fixa Rhadamanthe droit dans les yeux.

-Maintenant, Rhadamanthe, qui est faible ? Tu es tellement désespéré de trouver des sous-fifres que tu ne réfléchit même plus à qui tu attaque ? Je te croyait pourtant doté d'un jugement imparable … Tu aurait dû savoir que rien ne se passerait comme tu l'entendais. Tu reste un simple demi-dieu, même Zephios est plus capable que toi si c'est dire ! (Faut le prendre comme un compliment u.u) Elle fit un geste de bras pour désigner la salle sans-dessus dessous. En fait, je crois que je n'ai même pas envie de parlementer, juste de ...

Elle arquait ses doigts, comme si elle enfonçait ses ongles dans quelques chose, les dents serrées, le regard noir. Son aura semblait brûler autour d'elle.

La colère était revenue en même temps qu'elle parlait. Les fils de Zeus avait décidément un don pour la faire sortir de ses gongs, c'était sidérant. Elle avait littéralement envie de frapper Rhadamanthe, de le foudroyer sur place, ou mieux encore ! Le jeter du haut de l'Olympe pour qu'il tombe sept jours durant avant de s'enfoncer dans les profondeur de la mer ! Elle essayait de se retenir mais, Arès doit bien venir de quelque part non ? Disons qu'il tenait pas mal de sa maman. Elle finalement deux pas pour se poster en face de Rhadamanthe et lui flanquer une gifle magistrale, tout en se retenant mentalement de le ruer de coups. Premièrement ça aurait été tout à fait inutile parce qu'Héra et la force brute ça fait vingt, deuxièmement parce que Robine lui en aurait certainement voulu et troisièmement parce que Zephios aurait été trop content de voir sa belle-mère péter un plomb.

C'était horrible cette sensation de rage contenue. Elle qui pouvait s'amuser à rabaisser les gens verbalement n'avait plus envie de joutes verbales mais seulement de voir son ennemi à ses pieds. Ce qui en soit ne serait pas bien difficile à réaliser, il devait bien y avoir un ou deux couteaux qui étaient tombé dans le coin.

[HS : Désolé, je sais , je suis totalement inutile mais c'était soit ça, soit Héra qui frappait Rhadamanthe avec un pied de table u.u
Après je peux toujours changer si vous préférez la seconde version ? x'D

PS: Moi je dis : Baston générale ! Yeah ! ]


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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyLun 5 Jan - 18:23





Quand un comte...


Feat plein de gens



Le dieu était prêt à annihiler ce Comte prétentieux par une simple pensée quand il fut surpris par une pression assez douloureuse sur son bras. Zéphios baissa les yeux vers celui-ci et remarqua la corde qui était passée inaperçue. Une grimace déformant son visage, il dut lâcher son adversaire, reculant de quelques pas pour pouvoir mieux riposter en cas de besoin. Mais à la place, il écoutait Rhadamanthe vociférer avec une fureur à peine contenue. En fait, Zéphios et lui se ressemblaient.

« Zéphios comment ose tu te présenter devant moi et me menacer après ce que tu à fait, disparaît d'ici, tu à causer bien assez de mal comme ça! »

Le concerné haussa un sourcil et éclata d’un grand rire moqueur. Alors, comme ça, si un pauvre Juge relégué chez les mortels voulait qu’il parte, il s’y prenait comme ça ? Ne savait-il pas qu’il n’avait aucune chance contre lui, un dieu de la Nouvelle-Olympe ? Zéphios fixait l’insolent avec mépris, se demandant quel châtiment il allait bien pouvoir lui infliger, quand un mouvement du côté des misérables mortels le fit presque sursauter. Un coup de feu résonna dans la rue. Les yeux du dieu s’écarquillèrent et il allait, d’un simple geste de la main, dévier la balle quand cet imbécile dépourvu d’encéphale se jeta devant Plumia – qui était restée figée – pour la protéger.

Zéphios faillit faire exploser la boîte crânienne du Comte, qui crachait du sang sans pouvoir s’en empêcher, évidemment. Par chance, il se retint, se contentant de le fixer avec une rage qui menaçait de déborder. « Alors comme ça, cet abruti congénital menace ma fille, puis la sauve ? MAIS DITES-MOI OÙ EST LA LOGIQUE, PAR LES TOUS DIEUX ! hurla-t-il intérieurement. » Un petit grondement de tonnerre lui répondit.

En parlant de ladite fille, Plumia s’était légèrement avancée et répondait à Rhadamanthe, avec une force que le dieu savait enfouie au fond d’elle, qui ressortait souvent aux bons moments comme aux mauvais. « Et dans ce cas-là, se dit-il, c’est au bon moment que ma fille fait preuve d’une fermeté admirable. »

Mais il ne voulait pas que Plumia se mette en danger, car même si le Comte avait perdu ses pouvoirs, il était toujours dangereux, comme on pouvait aisément de constater avec ses hommes armés. Zéphios ne comprenait pas cette manie d’embaucher des gens pour tuer d’autres gens à sa place. Inutile ! Autant le faire soi-même.

Puis Héra, qui ne s’était pas manifestée avant, se précipita vers Plumia qui avait fini son petit discours. Zéphios détourna le regard. Jamais il ne serait  comme ça avec sa fille, et, l’esprit toujours bouillonnant, il voulait  éviter une catastrophe. A la place, il regardait avec un air satisfait le Comte qui était toujours blessé. Un ricanement lui échappa quand, à nouveau, il cracha un peu de sang. C’était ça, ce que l’on récoltait lorsqu’on jouait aux héros…
« Il n’a eu que ce qu’il mérite, songea le dieu, souriant férocement. »

Zéphios attendait peut-être quelques remerciements, de la part de la reine déchue, mais il n’espérait pas trop. Ce n’était pas elle qui allait venir de son plein gré pour le remercier, même s’il les avait sauvées, Plumia et elle ! Mais il avait pu sentir son soulagement, et c’était déjà quelque chose. Il se rendit compte qu’Héra avait pris la parole, mais dans sa fureur intacte, il n’avait pas forcément fait attention.

« Tu reste un simple demi-dieu, même Zephios est plus capable que toi si c'est dire ! »

Le concerné haussa un sourcil, légèrement amusé. C’était drôle, quand ils avaient un ennemi commun, Héra et lui. Et celle-ci brûlait de rage contre Rhadamante, son aura devenant écrasante. « Mais… Elle n’avait pas autant de pouvoir, avant… » mais Zéphios oublia ce problème – pourtant majeur – pour exploser d’un rire moqueur en voyant la claque magistrale qu’Héra venait d’envoyer au Comte. Il était d’humeur bien dure et s’amusait de le voir ainsi, blessé et sans défense – ou presque. Alors, glissant presque sur le sol, il vint auprès de son ennemi pour s’asseoir sur son torse, s’appuyant sur l’épaule blessé de Rhadamanthe, cette lueur de fureur toujours présente dans son regard d’améthyste. Approchant son visage du sien, le dieu chuchota, un brin d’amusement se glissant dans sa voix.

« Eh, petit Comte… Tu sembles oublier que je suis un dieu. Alors au lieu de jouer aux héros, laisse plutôt faire les plus forts que toi. Cela t’évitera un autre… (il appuya encore plus sur l’épaule gauche de Rhadamanthe, un sourire cruel et froid plaqué sur ses lèvres) … problème de ce genre. »

Cela faisait longtemps que Zéphios ne s’était pas autant amusé avec quelqu’un… Ce sentiment de supériorité, de domination, le rendait heureux. Après tout, un dieu voulait l’obéissance de ses fidèles, n’est-ce pas ? N’hésitant pas à employer quelques méthodes… plutôt fortes. Et tant pis si Zéphios laissait le Comte à moitié brisé.
Il le méritait, voyons !




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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyLun 5 Jan - 20:18
Le Comte étais à terre, blessé par balle à l'épaule gauche et à la joue par Héra, ses corde ne lui obéissait plus et ses homme étaient neutralisé. Sa chevelure si impeccable d'habitude était détruite et tacheter de sang, le sien et celui du tireur. il recrachât du sang et commençait à sentir ses force le quitter petit à petit. Puis Zéphios s’avançât, flottant presque au dessus du sol tel un alizé, pour finalement s'asseoir sur son torse tout en lui appuyant sur l'épaule.Son visage frôlât le sien et du voie suave le dieu des vents lui chuchotât un amers sermon.

-Eh, petit Comte… Tu sembles oublier que je suis un dieu. Alors au lieu de jouer aux héros, laisse plutôt faire les plus forts que toi. Cela t’évitera un autre… (il appuya encore plus sur l’épaule gauche de Rhadamanthe, un sourire cruel et froid plaqué sur ses lèvres) … problème de ce genre.

Intérieurement le comte se rappela alors que toute la douleur que l'on pouvait lui infliger ne pouvait pas altérer son jugement, car après tout il n'était qu'un outils et un outils n'a pas de sentiments, ni de douleurs ou de joie à ressentir.
Dans son esprit il repassait tout les événement des ces dernière minute,et les jugeait tous, impartialement, que les action viennes de lui ou des autres cela n'avait aucune importance.

-une perte de temps, un gâchis de vit humaine et des âmes perdu pour l'éternité dans les affres du tartare.

-voila ce que le dialogue avec vous à donné.


la voie qui s'élevait du corps du comte étais monocorde et sans vie, comme si on récitait un texte appris pour la millième fois.
il tournat mécanique ment la tête pour voire l'ensemble des personne présente dans la pièce.

-J'ai trop compté sur votre capacité à analysez avant d'agir, à Héra, ainsi qu'à toi Zéphios. Je ne pensait pas que les sentiments pouvait être plus fort que le raison, et à cause de cela vous avez agit sans rien vérifier. Héra si j'avait voulut vous tuer je l'aurait fait sans vous avertir, et si ma motivation était de faire du mal à votre fille je ne me serait pas trouvez à moins de cinquant kilomètres de vous pour vous le faire savoir. Zéphios, si tu avait fait attention tu aurais vue que le téléphone pour communiquer avec mon sniper était détruit et qu'aucune balle n'était engager dans le canon du fusil, ainsi que le faite que mes hommes ne visait que héra.

Rhadamanthe vomie alors plus de sang qu'auparavant et se mit à toussé. après quelque seconde, il put tous de même reprendre. D'une voie plus simple et plus monocorde que jamais, comme si l'homme étais mort ne laissant place qu'au juge.

-Rhadamanthe tu à quand à toi fait une erreur sur la sélection de tes hommes, car l'un d'entre eux à tirer malgré tes ordres stricts.Je voie aujourd’hui que je ne pourrait pas faire régner la justice sur ce monde. Alors il ne me reste qu'une chose à faire.

Une aura rouge s'ombre semblat alors émané du Comte. il repoussât avec difficulté Zéphios pour ce mettre debout, ses cheveux volait comme si un ouragans dévastait la sale mais qu'il étais le seul affecté, puis d'une voie d'outre tombe les mots jaillir.

από τη δύναμη που μου έδωσε ο Δίας. ότι ανοίγει το δρόμο της δικαιοσύνης Αἰακός Ῥαδάμανθυς Μίνως

Un ensemble de symbole étrange firent alors leurs apparitions sur le corps du comte, ils se mirent à dansé et à se mouvoir. Son ombre se divisât en deux et elles se mirent à ses coté, comme reflet d'êtres passé. Il marchât alors vers le centre de la pièce et frappa ses paumes l'une contre l'autre, ce qui arrêta net les phénomène qui l'entourait. Il s'arrêta et prononça les mots qui allait provoqué ce qu'il espérait être le retour de la justice en ce monde.

-Si les sentiment entrave la Justice alors que ceux que je touche en devienne dépourvut, et que pour toujours la paix règne sur le monde.

il courut alors vers Héra, le poing armé pour que la justice sois enfin rendu.

(Ps: si vous trouvez que j'en fait trop surtout dite le moi pour que je rectifie au plus vite, j'ai tendance à vite n’emporter merci.)
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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyMar 6 Jan - 20:14
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Ita Diis Placuit !


Bon, Héra devait se l'avouer pour le coup, Zephios méritait d'être applaudi. Elle n'aurait jamais cru qu'il avait, tout comme elle, cette part sombre, ce goût de la vengeance. C'est étrange de penser que celui qu'elle hais tant lui ressemble aussi tellement. Les deux dieux cherchaient à protéger la même personne et ce quoi qu'il en coûte. Une sorte de manière de se rependit peut-être, ou alors cherchaient-ils une affection qu'ils n'avaient pu avoir à travers leur fille. A moins que ce ne soit cette part d'humanité qui ressort en eux. Héra ne pouvait pas répondre à ces questions qu'elle même se posait parfois. Mais, revenons à nos moutons. Ou plutôt à notre juge. Rhadamanthe était écrasé par le dieu des vents qui ne se gênait pas pour accentuer la douleur de son demi-frère en appuyant sur sa blessure toute sanguinolente.

-Eh, petit Comte… Tu sembles oublier que je suis un dieu. Alors au lieu de jouer aux héros, laisse plutôt faire les plus forts que toi. Cela t’évitera un autre… problème de ce genre.  

Anne ricana, oui c'est bien le terme, elle ricana, un peu comme le font des hyènes. Ce petit rire sec, dépourvut de toute émotions autre que le plaisir de voir quelqu'un souffrir. Quand elle y repensait, elle se disait alors, qu'elle-même et Zephios renvoyaient une bien piètre image d'eux même à leur fille.  Pourtant c'est ce qu'ils étaient, des dieux, cruels, sadiques, qui s'amusaient avec les hommes comme s'amuse un enfant avec ses playmobil, des fois, le jouet n'était plus amusant, alors ils le jetaient simplement, d'autres fois, ils s'amusaient à le torturer, c'est cruel mais, ce ne sont que des enfants, ils ne savent pas bien encore ce qui est bien ou mal. C'est un peu pareil pour les dieux, ou tout du moins, ça l'était pour Héra jusqu'à ce qu'elle chute dans le monde des humains et évolue. Oui, Anne avait changé de l’ancienne reine des dieux qu'elle était. Peut-être un peu plus tolérante que certaine choses, plus maternelle. Mais cela n'enlevait rien à son caractère. Héra aime se sentir supérieure aux autres, alors voir celui qui la prenait de haut il y a quelques instants plié en deux sur le sol, même si elle n'y était pour rien là dedans, avait tendance à la réjouir.

Peut-être s'était-elle réjouie un peu trop vite. Elle n'avait pas pensé que Rhadamanthe puisse encore avoir une carte en réserve. C'était étrange que de voir cette voix mécanique, sans timbre particulier sortir de la bouche de juge infernal. C'était comme si un autre s'exprimait à travers son corps.

-Une perte de temps, un gâchis de vit humaine et des âmes perdu pour l'éternité dans les affres du tartare. Voila ce que le dialogue avec vous à donné.

Anne grinça des dents. Appeler cela un dialogue c'était appeler nounours un crocodile. De toute manière à quoi s'attendait-il ? Voir la reine déchue lui sauter dans les bras en le glorifiant ? Le pauvre chou n'avait pas bien dû comprendre à qui il s'adressait.

-J'ai trop compté sur votre capacité à analysez avant d'agir, à Héra, ainsi qu'à toi Zéphios.

Héra haussa un sourcil. Le monologue prenait une tourne accusatrice qu'elle n'appréciait pas trop tout en étant curieuse de résultat. Que lui réservait le jugement du comte ? Allait-il la priver de désert ? Anne rigola un peu au son de ses propres pensées, qu'espérait réellement faire ce demi-dieu face à elle et à Zephios, enfin surtout face à Zephios.

-Je ne pensait pas que les sentiments pouvait être plus fort que le raison, et à cause de cela vous avez agit sans rien vérifier. Héra si j’avais voulut vous tuer je l'aurait fait sans vous avertir, et si ma motivation était de faire du mal à votre fille je ne me serait pas trouvez à moins de cinquante kilomètres de vous pour vous le faire savoir. Zéphios, si tu avait fait attention tu aurais vue que le téléphone pour communiquer avec mon sniper était détruit et qu'aucune balle n'était engager dans le canon du fusil, ainsi que le faite que mes hommes ne visait que Héra.

Ah, et c'était censé la rassurer ? Dans un sens, oui, au moins Robine ne craignait rien, bien qu'elle douta quand même de la parole de l'homme. Néanmoins se savoir personnellement visé n'était pas pour rassurer la Reine des dieux qui aurait dû partir sans faire d'histoire maintenant que Robine était  sauve au lieu de s'acharner sur l'homme. Ce dernier ce mit à rayonner pendant que sa puissant aura envahissait la pièce. Plissant les yeux à cause de la vive lueur écarlate qui émanait du comte, elle se décala un peu pour se mettre entre Robine et Rhadamanthe.

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Cela s'annonçait mal, très mal pour la reine des dieux. Si Rhadamanthe invoquait le pouvoir de Zeus alors elle n'avait plus aucune chance face à lui, surtout qu'elle n'avait strictement aucune idée du pouvoir qu'avait bien pu lui conférer son époux. S'en suivit un moment théâtral qui n'avait rien pour enlever la boule d'anxiété qui avait décidé de revenir au creux du ventre d'Héra, qui fit son mieux pour rester visuellement impassible.

-Si les sentiment entrave la Justice alors que ceux que je touche en devienne dépourvut, et que pour toujours la paix règne sur le monde, récita-t-il avant de courir vers elle.

La dernier pensée d'Héra avant que Rhadamanthe ne l'atteigne ne fut ni pour Robine derrière elle qui devait être terrifiée, ni pour Zephios qui avait encore une fois lâché sa proie, ni même pour son époux ou ses autres enfants ou qui que ce soit d'autre. Non, sa dernière pensée fut simplement : Cours.

Cours.

Ce fut le dernier mot qu'elle ressentit avant le calme. Le vide absolu. Il n'y avait plus rien. Ni peur, de voir Robine souffrir, de perdre son fils à peine retrouvé, ni rage, à l'encontre de Zephios, de Rhadamanthe, ni joie, ni ennui, rien. Rien que du vide et sa raison qui lui disait. C'est fini. Plus de sentiments. Et pourtant, Anne n'en était même pas peinée, c'était … juste un constat. Elle ne ressentait plus rien. Pas même le besoin de protéger sa fille de ce juge infernal. Elle pensait cependant que par devoir entant que femme l'ayant élevée, qu'elle se devait de la protéger, par devoir, non pas par amour.

Héra cligna deux fois des yeux. Pas une fois de plus.

-Que compte tu faire maintenant comte ? Cela va prendre du temps de toucher chacun des humains. Enfin, fait ce que tu veux, ce n'est pas important.

Sur ces paroles vides de toutes traces d'émotions, Anne s'écarta un peu, prête à quitter ce lieu. Après tout, c'est pas comme si elle avait réellement besoin de protéger Robine puisque celle-ci avait son père et qu'elle même n'avait aucun lien biologique avec elle, si ce n'est le fait qu'elle soit sa grande, grande tante et non pas sa mère comme elle a pu stupidement le prétendre autre fois.

[HS: Gack ! C'est galère d'écrire quelqu'un sans sentiments ! Sauvez-Héra :p]


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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyDim 18 Jan - 17:29





Quand un comte...


Feat plein de gens



« Allez, se dit Zéphios, voilà que l’Juge insensible vient ramener sa fraise. »

C’était plus par curiosité que le dieu avait laissé le Comte le repousser. S’il l’avait voulu, il l’aurait plaqué à terre autant de temps qu’il le souhaiterait. Rien de plus simple pour une divinité.

Il l’écoutait déclarer sur un ton morne et plat ce qui était mal, ce qu’il fallait changer… Ah, non, ce n’était pas ça ? Zéphios n’écoutait pas vraiment, en fait… Il ne prêtait attention à Rhadamanthe que d’une seule oreille, jusqu’au moment où cette série de lettres grecques étaient apparues, et que le Juge se précipite sur Héra. Etait-ce parce que c’était elle que le dieu ne bougea pas pour la sauver ? Nous n’en avons pas la réponse, mais en tout cas, ce fut avec surprise que Zéphios écoutait la reine déchue parler avec monotonie, ce qui ne lui ressemblait pas du tout. Mais alors, non.

Surtout, elle semblait s’en fiche complètement de Plumia, à présent. Zéphios la sonda rapidement pour découvrir une sorte de coquille vide de sentiments. Il n’en fut pas glacé de terreur, mais presque. Il savait qu’il pouvait en être la prochaine victime, mais pour le moment, il valait mieux mettre sa fille à l’abri. Alors en une fraction de seconde, il prit Plumia dans ses bras pour la déposer sur un toit à proximité. Déposant un baiser aussi léger que le vent sur son front, il lança :

« Reste ici, je ne veux pas que tu sois blessée. »

Puis il revint vers le Comte et Héra. Sa colère s’était calmée et il put réfléchir sans trop de difficulté. Il voulait laisser à part les mortels, mais comment faire ? Il ne pouvait pas les endormir, il n’était pas un descendant d’Hypnos. Il n’était pas non plus Cronos – et heureusement – et ne pouvait pas jouer avec le temps. Non, lui, Zéphios, n’était qu’un dieu du Vent. Et que pouvait-il faire pour éloigner les mortels ? Rien, constata-t-il. Alors il se mit en tête de clore aussi rapidement que possible cette affaire dérangeante, avant d’aller demander à un autre dieu d’aller effacer ces mémoires.

Pour le moment, Zéphios ne devait que neutraliser Rhadamanthe, ce fils de Zeus.

Etant donné qu’il semblait possédé par l’esprit du Juge, celui sans cœur, sans émotion, destiné à… juger pour l’éternité, le dieu ne savait pas s’il pouvait l’atteindre. Alors, pour limiter les dégâts dans un minimum de temps, il invoqua un vent tranchant et amputa tout simplement le corps mortel du Comte de ses deux bras.

Oui, je sais que ça peut vous sembler assez gore, mais c’est un dieu, que voulez-vous ? Il a perdu la notion de ‘grave’ ou de ‘c’est rien !’, donc pour lui, perdre ses deux bras, ça se situe au niveau cinq, sur une échelle d’importance de dix.

Zéphios s’entoura ensuite de mini-cyclones, pour s’approcher rapidement de Rhadamante et le plaquer à terre avec ses pouvoirs divins. Il avait pensé à les utiliser, plutôt que le faire avec son propre corps, pour ne pas perdre ses émotions lui aussi. Ce serait bête.

Puis, soudainement, Héra apparut dans son champ de vision, il ne savait trop comment. La voyant comme ça, le regard bizarrement vide, il ressentit une étrange sensation l’envahir. Ce n’était pas parce qu’elle était son ennemi la plus horrible – parce qu’elle l’effrayait grandement – qu’il était juste de la laisser aussi vide. Zéphios baissa de nouveau les yeux vers Rhadamanthe.

« Comment fait-on pour rendre les sentiments de quelqu’un ? Parle. »




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MessageSujet: Re: Quand un comte voie le passé revenir Quand un comte voie le passé revenir - Page 2 EmptyMer 24 Juin - 10:09
Enfin! enfin la justice allais être rendu sur cette terre. Rhadamanthe venait tout juste de touché Héra et il sentait déjà les sentiment de cette dernière la quitter pour ne laisser place qu'a une froide et implacable justice.
De ce corps maintenant tout entier dévouer à la justice s’élevât une voie ou aucun sentiment ne perçait.

-Que compte tu faire maintenant comte ? Cela va prendre du temps de toucher chacun des humains. Enfin, fait ce que tu veux, ce n'est pas important.

Le compte se retournât alors pour faire face à son demi frère, mais le dieu des vent semblait avoir disparut, tout comme sa fille.  Rhadamanthe examina alors la pièce, et ne décelant pas la présence de Zéphios il commença à passer en revu toutes les possibilités qui s'offrait à lui. Puis dans un tourbillons qui projetât les meubles et les corps en tout sens, le nouveau dieu réapparut dans la salle, sont aura divine débordait de son corps, il n'y avais maintenant plus aucun doute possible, le compte avais provoqué un terrible dieu. D'un simple de la main il invoquas le vent, plus rapide qu'un poignard et plus tranchant qu'une guillotine et en un instant les bras du compte furent sectionnés.

-Arg!!!

Ce fut le seul son que put produire le corps de Rhadamanthe alors quand lieu et place de ces membres supérieurs deux immondes moignons de chair vomissait un sang épais et d'un pourpre impérial, car malgré un pouvoir extrêmement puissant le corps du juge restait mortel.
Zéphios s’entourât alors de ce qui semblait être des cyclone pas plus grand que des ballons de football et tout en s’approchant de lui l’écrasait au sol de sa puissante aura divine. ce faisant il portât son regarde sur Héra qui immobile dans un coin de la pièce n'avais pas bouger depuis qu'elle était devenue un être de pur raison.

-Comment fait-on pour rendre les sentiments de quelqu’un? Parle.

tout en prononçant cette phrase le dieu des vents avais baisser son regard sur Rhadamanthe.

*Quoi?*

L'esprit du compte ne comprenait pas ce qui se passait, pour quoi ce nouveau dieux voulait un moyen de rendre ses sentiments à Héra, elle était son ennemie. il réfléchissait à toute allure mais non définitivement dans son esprit privé de sentiment cela lui échappait que l'on veuille sauver un ennemie autrement que pour un gain stratégique, et ici le gain était inexistant. Le corps du compte commençait à mourir, bien que le fait d'être toujours vivant après les blessure qu'il venait de subir relevait de l'exploit il y avait des limite au-quelle un mortel ne pouvais échapper. Sentant ces dernière force le quitter il imaginait ce qui allait peut être pouvoir rétablir un semblant de justice en ce monde.

- Je ne sait pas pourquoi tu veut rendre ses sentiment à Héra mais...

Soudain il sentit le pouvoir le quitter, il retrouvait son état normal, ses trait se tirèrent, sa peau devin plus blanche encore et son sang repris une teint normale.

- maintenant que je n'ai plus mes pouvoirs je ne plus la sauver... ici tout du moins mais je te propose un échange qui serrait des plus juste et qui te permettrait de racheter une partie des fautes que tu à commise tout en sauvant Héra.


Avant de continuer Le compte respirât profondément et se rendit compte qu'il allait bientôt mourir. il repris précipitamment

-Si tu accepte de me renommez juge des enfers et de me rendre touts mes pouvoirs dans le royaume d’Hadès je pourrais sans difficulté lui rendre sont état normal. Cela me permettra de juger toutes les âmes qui attende depuis trop longtemps par ta faute, de plus pour ne pas mettre en périls ta positions mes pouvoir sur terre resterons limité à ce qu'ils sont actuellement.
Alors quand pense tu?
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